Génération Remote - Le podcast sur les bonnes pratiques du télétravail

#38 - Comment embaucher un salarié à l'étranger, avec Jaoued Karbou

Posté le 16. Mai 2023  (Dernière modification le 13. Janvier 2024 )
34 minutes  • 7205 mots

Sur le podcast GénérationRemote on parle beaucoup de comment créer une entreprise 100% en télétravail, comment devenir digital nomad et voyager tout en étant salarié mais les contraintes “techniques” ne sont pas anodines. Le remote permet d’ouvrir les frontières et d’embaucher ou de travailler avec n’importe qui dans le monde, mais il y a de fortes contraintes légales qui viennent avec cette décision. La plupart des entreprises choississent soit de ne pas embaucher de salarié à l’étranger, soit de faire appel à des freelances.

Pourtant il existe une alternative et c’est ce que Jaoued vient nous présenter dans cet épisode. Il travaille pour Multiplier, une entreprise qui est spécialisée dans l’embauche de salariés étrangers. Que vous vouliez embaucher un développeur Argentin ou un chargé de clientèle aux Philippines, ils mettent en place les contrats de travail, accompagne leurs clients dans le choix des avantages des salariés et gère la paye.

C’est une solution encore peu connue en France (même si il existe déjà des concurrents sur le marché) et qui permet de tester un nouveau marché facilement, de recruter une personne avec une compétence spécifique à l’autre bout du monde où de réduire ses coûts en “externalisant” des ressources.

Autre point très intéressant, Multiplier à publier un “Talent Wiki ” qui regroupe tous les pays dans lesquels ils sont présent avec pleins d’infos sur l’embauche de salarié locaux (salaire moyen, jours de congés, charges patronnales, …). C’est une ressource 100% gratuite qui est une vraie mine d’or si vous voulez travailler avec des personnes étrangères!

Un épisode de podcast très “concret” donc. Je voulais traiter en profondeur cette problématique qui revient souvent auprès des entreprise full remote. J’espère que cela vous aidera!

Bonne écoute et n’hésitez pas à me faire parvenir vos avis/remarques sur Twitter ou WhatsApp

PS: L’épisode n’est pas sponsorisé par Multiplier!

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Transcript de l’épisode

Xavier (00:00:06) - Salut, je suis Xavier Coiffard et je vous présente génération remote, un podcast qui explore une nouvelle façon de travailler. Il essaie de comprendre comment est-ce qu’on peut travailler autrement dans ce podcast? On parle de télétravail, de digital nomade et de comment se créer son propre mode de vie dans un monde de plus en plus numérique, je vous propose d’explorer ces différents univers sans filtre avec des personnes qui vivent au quotidien. Si ces sujets vous intéressent abonnez vous.

Xavier (00:00:37) - Bonjour

Xavier (00:00:37) - À tous et bienvenue sur génération Ute. Aujourd’hui en génération e, je reçois jaou carou. Salut jaou est ce que tu peux te présenter rapidement.

Jaoued (00:00:46) - Ouais. Salut Xavier. Merci. Merci de m’accueillir. Donc je suis jaou 16 au sein de multiplier employeur of record qui permet aux sociétés de pouvoir employer leurs talents à travers le monde et tout en se dé dénouant de toutes les contraintes territoriales et légales.

Xavier (00:01:01) - C’est vraiment pour ça que je t’ai invitée. C’est super intéressant parce que sur le podcast, donc là, on est quasiment à 40 épisodes et on parle beaucoup de sociétés Fu imo ou de digital nomades ou des gens qui travaillent dans différents pays ou qui décident de partir plusieurs mois ou plusieurs années dans différents pays. Et à chaque fois, il y a toujours un peu la contrainte légale qui arrive. Comment est-ce que je fais pour embaucher? On a aussi beaucoup la question de la culture. Tu vois comment est ce que je fais pour embaucher quelqu’un qui soit dans un autre continent? Parce que c’est bien beau d’être un fou de imo d’être décentralisé, mais t’as toujours un peu est ce qu’il faut que je monte une boîte, si je vais embaucher quelqu’un en argentine par exemple. Et donc tu m’as contacté et clairement, j’aimerais bien qu’on passe enfin, j’avais vraiment envie de faire un épisode dédié sur ce sujet.

Xavier (00:01:43) - Comment est ce qu’on fait dans le concret? Tu vois pour embaucher quelqu’un qui n’est pas dans le même pays ou quelqu’un qui veut partir dans un autre pays parce que vous êtes foule imo. Et donc il n’y a pas de, il n’y a pas de contrainte physique, mais si par ordre, j’ai un de mes employés qui veut partir trois ans, je ne sais pas où en Australie, comment je fais, comment je fais dans le dur du coup est ce que tu peux est ce que tu peux nous décrire en deux mots, ce que fait ce que fait multiplier peut être un peu plus dans le détail,

Jaoued (00:02:08) - Hein? Un grand plaisir multi. Là, tu viens de décrire un peu tous les types de scénarios qui sont qui sont probables pour pour les personnes qui sont intéressées d’employer des personnes à l’étranger. Donc, la meilleure façon d’employer une personne à l’étranger, c’est d’avoir une entité légale à l’étranger. Donc tu peux, comme dans le pays ou l’entrepreneur, la société emploi, ses salariés le faire aussi à l’étranger, sauf que ce n’est pas du tout. Et ce n’est pas tout le temps le cas. Donc nous on permet en fait, comme on a des entités dont chacun des pays que l’on propose de pouvoir porter ce salarié dans le pays visé. Tu m’as parlé d’Argentine, on a une entité en argentine et on va pouvoir te proposer via notre solution via notre plateforme de pouvoir éditer un contrat en quelques minutes, ce contrat qui sera en toute conformité avec la législation légale du travail en argentine.

Jaoued (00:03:01) - Et tu vas pouvoir le cousser et gérer pas mal de choses. Donc, en fait, une personne qui va te dire j’ai envie d’avoir une expérience perso ou dessus, mon conjoint pendant trois ans en argentine, toi, t’es une boîte de 50 personnes qui est purement franco-française ou t’as une entité en Espagne, mais pas du tout en argentine. Tu vas pouvoir lui proposer un contrat argentin en toute légalité. Et c’est nous qui allons gérer tous les aspects administratifs contractuels pay pour le principal. Et c’est toi qui géras comme comme à l’accoutumer, l’aspect managérial de cette personne-là orientals

Xavier (00:03:40) - Ok. Et du coup, alors, très concrètement, ça veut dire que c’est à dire que er, c’est une boîte qui vous avez plein de filiales partout dans plein de pays. Et du coup, le salarié que je vais recruter moi. Donc l’argentin, il va être salarié de multiplier et multiplier, mais explicitement le contrat accueil bo que pour moi, et en fait, fais une facture tous les mois, Quest, le salaire chargé de mon salarié argentin plus un fils, c’est ça, plus un petit plus ta commission ou

Jaoued (00:04:09) - Un fils. Exactement. C’est exactement, ça est,

Xavier (00:04:12) - Ce est ce que tu fais est ce que vous faites. Contrat classique, salarié et freelance. Vous faites les deux, c’est possible.

Jaoued (00:04:20) - Oui, on fait clairement les deux. Donc le fait de pouvoir employer un salarié. Donc dans le pays que tu souhaites ou de gérer ta relation, mais j’aimerais dire plus de paiements avec les avec des frais tueurs ou ou des contracteurs à travers le monde. La grosse différence entre les deux, c’est que sur l’un on va s’engager légalement. On va avoir une grosse responsabilité du salarié parce que les salariés de salariés dans entier ont des droits. Il faut pas faire n’importe quoi avec ça. C’est donc ils peuvent se retourner. C’est nous qui portons ce risque pour le côté et contractant, on va juste gérer si tu veux le paiement dans notre outil, dans notre outil vient notre plateforme pour que l’entreprise qui contract, actualise avec une centaine de de freelance à travers le monde les est tous sur une même et seule plateforme. On est, si tu veux une solution, ça dans la ha charte tech vraiment qui permet d’employer en quelques minutes des personnes que soient des fri financeurs ou des employés à travers le monde.

Jaoued (00:05:15) - Voilà comment ce qu’on parle de plateformes. Mais voilà, c’est vraiment un menu déroulant. Tu vas avoir pas pas mal aussi de de complément à ça, c’est à dire beaucoup plus que le fait de pouvoir juste employer. On peut aussi envoyer des ordinateurs, des téléphones pour faciliter l’ordre boing de des salariés ou des free lanceurs. On va gérer aussi l’aspect bénéfice. C’est à dire tout ce qui est appelle communément France, les mutuelles, mais les assurances, les assurances dans les pays, on va pouvoir customer avec des bonus, des allocations pour le transport pour l’internet pour 1000 et une chose via notre solution en quelques clics de manière très, très intuitive.

Xavier (00:05:57) - Ok, alors du coup, comment est ce que ça fonctionne? Est ce que d’un point de vue tarifaire, on va dire, parce qu' imaginons toujours, on a regardé mon salarié argentin est ce que est ce que ta prestation à toi. Elle coûte le même prix que je le paye au minimum salarial argentin ou que je le paye 100 zéro par an avec une mutuelle, tu vois des bonus, des ordi, etc. Est ce que le fils est en fonction du salaire. Comment, comment est-ce que ça fonctionne du au tarif?

Jaoued (00:06:27) - Le fils est le fils. Il est absolument le même. On n’a pas de tu le paye, 1000 1000 euros ou 100 000 euros par mois ou ça n’a aucune, ça n’a aucune espèce d’incident sur nos filles. Nos filles sont toujours fixes par rapport à ça.

Xavier (00:06:43) - Et tu peux nous dire combien ça coûte.

Jaoued (00:06:48) - On a des cas par cas, mais au niveau niveau mondial, on est à 500 par mois pour la gestion d’un employé. On a quelques exceptions qui arrivent à être très compétitifs, tels que le Canada, l’irlande, le ye, les philippines, l’inde, Singapour, on arrive à avoir un tarif très compétitif qui descend jusqu’à 300 à 300. Ça, c’est nos prix.

Xavier (00:07:14) - Ok, ok.

Jaoued (00:07:15) - Et on a une exception aussi avec le Japon, on est un peu à 600 dus à la complexité du du de législation locale japonaise. Mais voilà au niveau global. Si tu parles de l’argentine, si tu me parles de l’afrique, si tu me parles de l’asie, on est sur sur 500.

Xavier (00:07:32) - Donc on en avait parlé avec dans un podcast précédent, avec comme courtot, qui du coup lui voulait dans une démarche d’expansion, il bo avec un des concurrents et lui typiquement, en fait, il recrutait, on va dire des cadres pour le dire un peu, un peu rapidement des ingénieurs ou des gens, des gens assez haut, placés dires et du coup en fait le coup. Et ils nous disaient en fait le coût hyper marginal sur un salaire de, je ne sais pas, soixante mille quatre vingt mille ou plus 300 ou 500 balles ou par mois, c’est moins moins de 1000 euros. C’est relativement marginal. Et c’est bien en dessous de l’effort qu’il faudrait faire pour monter une boîte, aller chercher les avocats à mettre rejoint les contrats de travail, etc. Se mettre à ok,

Jaoued (00:08:14) - Exactement de mettre à jour, mais aussi aussi de fermer, parce que ça coûte aussi. Quand ça fonctionne pas au bon boit, quitter un, un territoire, ça coûte aussi pas mal d’argent. Donc là, c’est vraiment le côté flexible ris et tout en maîtrisant son budget d’employer des personnes à l’étranger. Et je t’ai donné le prix et les différences de prix pour un salarié et a aussi la gestion des contracteurs et des et des free lanceurs. Ou là on est à 40 $ par mois, s’il y a une facturation. Et la grosse différence, c’est qu’on ne va pas être responsable légalement, on va juste assurer une plateforme qui va assurer les les paiements, même si on peut vous proposer aussi un contrat FR danseur, si vous avez, si la société n’en a pas, on peut emploier celui de multiplier qui est de toute conformité avec le pays dans lequel le contracteur et ou fri lur sera. Et vous pouvez utiliser notre notre propre contrat, mais on sera pas responsable également. Charles le présider parce que voilà, c’est on m’en parler d’eux de responsabilité, la responsabilité sur un employé et un frais lanceur, c’est pas du tout la même

Xavier (00:09:19) - Justement, on en parlait parler en off tout à l’heure. Et c’est hyper intéressant parce que je te disais que moi, j’avais eu pas le problème encore, mais j’y avais pensé, il y a en ce moment tous les plateformes comme up ou fver qui sont vachement à la mode ou tu peux avoir des gens pour pas très cher les boulots. Le truc, c’est que si tu arrives à pour faire une illustration à logo, des trucs, des trucs sans sans risques particuliers, ça va, ça peut aller très bien sur du ponctuel. Mais si tu veux commencer, avoir quelqu’un qui vient de faire des trucs un peu tochi avec des mots de passe, tu vois avec genre de truc, ça peut être intéressant d’avoir déjà un salarié à plein temps et d’avoir quelqu’un qui, tu sais, est responsable de ce qu’il fait. Et ce n’est pas un free lanceur lambda sur fver qui un pseudo et qui peut partir avec tes mots de passe, des numéros de tir to, etc. Quoi?

Jaoued (00:10:07) - C’est clairement ça, c’est pas du tout la même gestion managérial d’un employé que d’un frais lanceur. Là, il va faire partie de ta société. Même si nous qui allons porter, il va faire partie de la société sera 100 dédié. Il aura les les droits, mais aussi les obligations qui incombent un salarié dans son pays, un frais lanceur. Tu traites avec une société en biou bidou il peut pas tout le temps. Et heureusement, c’est, c’est pas la même prise de risque sur certains points ou certains projets. Tu sera amenés à porter clairement

Xavier (00:10:38) - Et sur un sur un free lanceur du coup vous vôtre, ce que vous apportez en plus, c’est un la facilité de paiement, j’imagine, parce que mon argentin m. Vous le payer dans la monnaie locale et vous me faites une facture en euros. Enfin, j’imagine. Et en plus vous mettez en place un contrat de travail qui est local. Et donc qui est, je peux comment dire valide en argentine, comme parce que si moi, j’ai fait un contrat français,

Jaoued (00:11:04) - On n’est plus sur, je pas un contrat de travail puisque contrat de travail, c’est plus, mais un contrat entre entre deux structures locales et conforme par rapport aux pélo, aux pays dans lesquels ils se trouvent. Et on permet aussi, comme on n’est pas responsable, légalement aussi de pouvoir si tu le souhait, si tu ne te satisfais pas de notre squelette de contrat pour les frais financiers et au contracteur d’utiliser et d’applaudir le tien étant qu’on n’est pas responsable également, ça ne pose pas de problème puisque on va juste venir assurer les paiements entre entre vous deux. On n’aura pas les litiges potentiels. Ça, c’est important de le savoir, mais ça permet de pouvoir aussi customer de pouvoir allouer si tu veux une allocation pour pour les transports, pour pour pour le téléphone, pour l’internet, si tu veux aussi aussi lui allouer une assurance locale, c’est possible, tout comme l’employé.

Xavier (00:11:57) - Ok? Et alors, d’un point de vue vraiment pratique, je sais que ce n’est pas forcément évident de le faire à l’audio, mais comment ça fonctionne? Imaginons, j’ai le contact de mon mon fameux argentin. Je m’inscris sur er et combien même de temps ça me prend pour pour pouvoir l’employer le salarié dans ma boîte.

Jaoued (00:12:20) - Alors ça va dépend de deux choses. Je vais parler d’un employé pour lui envoyer un contrat en toute conformité. Ça va te prendre vraiment trois minutes. Tu avoir besoin de ces informations, non? Prénoms et adresse mail. Et bien évidemment, tout ce que tu souhaites incorporer au contrat, la paye, les bénéfices et tous ces choses là ça, tu peux lui envoyer et nous avant la date butoir de l’envoi, la date butoir de commencement du salarié. On a juste besoin pour être sûr qu’il va bien fin qui va bien être payé puisqu’on va être responsable également. C’est le paiement de la première facture qui est une facture d’un mois de dépôt du salaire du candidat qui sera bien évidemment remboursée à la fin du contrat, que ce soit qu’il met fin ou le candidat. Et à partir de ce moment là tout tous les mois, tu reçois, comme tu l’as dit, le une facture correspondant au salaire chargé de de ton employé, de ton candidat et nos filles et on le paye comme ça tous les mois.

Jaoued (00:13:20) - On s’assure bien à ce que ça soit payé. On une facture située entre à partir du 10 du mois à sept jours pour les pays, parce qu’on va garantir l’ensemble de nos salariés puisqu’ils vont devenir sur administrativement nos salariés d’être payés entre le 25 et la fin du mois. Voilà. Mais c’est ou comme tu l’as dit, c’est tu te connais à la plateforme? T’as ton accès sécurisé avec tes codes d’accès dédiés et tu peux facilement aller sur sur l’em boarding de ton employé. L’outil va un peu plus loin quand je on permet aussi d’envoyer tout un Haïti à sept, mais aussi à un moment, on va t’offrir aussi un petit wi budget s’appelle le talent wiki et qui va te donner un maximum d’informations, l’information de l’information RH sur des pays auxquels tu penses là, tu me parles des philippines. Tu vas retrouver quels sont les les jours fériés aux philippines, combien c’est combien les taxes employées, combien les taxes employées?

Jaoued (00:14:16) - C’est quoi les meilleures universités? Si tu souhaites pousser une annonce aux philippines, c’est quoi les top local job boards que tu vas sur lesquels tu vas pouvoir pousser ça est ce qu’un 13ème mot est obligatoire. C’est super important. C’est super légal. Il faut le budgétiser des fois, tu peux faire tes calculs sur 12 mois, mais il y a pas mal de pays dans lesquels un 13ème mois est obligatoire, voire même un 14ème mois. Tu vois? Et ça faut le savoir. Et en tout cas, ça entre le pouce. Donc c’est vraiment complet. Donc tu recherches des personnes ou tu t’intéresses à un pays, ok, nous n’a pas de, on n’a pas de, on prend pas de licence sur l’utilisation sur l’utilisation de la plateforme. On commence la facturation. Si tu veux, lorsque tu emploies quelqu’un, c’est à dire que tu peux venir t’inscrire sur notre plateforme et avoir accès à toutes ces informations de façon totalement gratuite.

Jaoued (00:15:03) - Ça, c’est super intéressant pour pour les gens qui cherchent qui se disent comment ça se passe là bas est ce qu’ils ont beaucoup de jours de congé, pas beaucoup de jours. Il m’a dit qu’il en voulait 20, le minimum légal, c’est 12 et 25. Tu vois toutes ces choses là, tu sera et on a bien évidemment moi, je pense aussi l’atout majeur, c’est qu’on a aussi une équipe de erses manager qui vont accompagner dans l’ensemble des étapes. Une question, on y répond par tel par visio et tous sont spécialisés dans les pays dans lesquels ils se trouvent. Donc une question parce que l’emploi d’une personne, ce n’est pas, on ne parle pas de machine de sa cap, patate, on parle d’humain. Donc il y a toujours des peut y avoir des des cas particuliers. Et à ce moment là, tu peux clairement leur poser la question et t’accompagne sur sur l boing et ou l’homme boing de tes candidats.

Xavier (00:15:56) - Tu disais tu disais que donc vous mettiez un contrat de travail dans les droits local. On va dire pour mon argentin en droit argentin. Et tu disais aussi que vous pouviez en plus rajouter des ordinateurs, téléphones, etc, mais aussi une mutuelle ou des avantages sociaux. On est ce que du coup vous avez des vous avez des avantages sociaux par pays ou est ce que vous avez une mutuelle, pas comment dire une assurance globale ou est ce que ces pays par pays, vous allez bosser avec tel truc parce que vous savez que le coût social, etc. Enfin, le coût de la santé locale, blablabla est ce que vous avez décliné tout ça par pays.

Jaoued (00:16:35) - On a décliné ça par pays pour côté mutuel, par exemple, c’est entre avec des acteurs locaux dans chaque pays pour aller chercher, j' veux dire, le meilleur acteur local au meilleur prix, on prend pas, on prend pas de filles là dessus. Donc on offre, on offre ce service à nos, à nos, à nos clients et on fait, on traite ça localement. Pareil pour le côté à Haïti atte on propose les prix qui sont les plus communément vus sur le net. Nos clients restent propriétaires de ce qu’ils envoient aux clients, aux candidats. Et le candidat s’engage à renvoyer le matériel en cadre, rupture du contrat, sinon ça sera retenu, pourra être retenu sur sur son sol de tout compte. Donc voilà tout ça. C’est vraiment des services en plus qu’on offre à nos clients pour faciliter l’and boarding ou d’un point de vue candidat pour dire à à leur patron, écoute, j’ai envie de partir là. Je sais que c’est un peu compliqué. On ne sait pas comment ça pourrait se faire. Moi, je n’ai pas envie d’être d’être FR. L tueur, j’ai une solution clé en main à être proposée, mais on a des demandes dans ce sens. Là de dire voilà, j’ai un contre, on a, on a une demande pour l’irak. Il n’y a pas longtemps. Tu voyais vraiment des demandes pour des multitudes de pays et qui viennent avec des solutions clairement auprès de leur employeurs, leur bosses pour pour aller travailler justement à l’étranger.

Xavier (00:17:56) - Ok, tu disais que tu nous accompagnais, accompagnait tes clients sur le sing avec des job Borg, etc. Est-ce que vous avez déjà vous expliquer pays par pays ou qu’on peut trouver des candidats est ce que vous avez déjà? Un poule de candidat est ce que vous nous aidez sur le sing, au delà des dabord ou pas, ou c’est vraiment à nous d’aller chercher les salariés comme on le ferait.

Jaoued (00:18:18) - C’est une excellente question parce que souvent on est fait de la sémantique, recrutement, employment, embauche nous, on est vraiment une solution d’emploi. Les personnes. Donc on n’a pas de structure de recrutement. On gère pas le Poul de candidats. Par contre, on a deux solutions parce que c’est vraiment le dernier kilomètre pour des fois, inciter à nos clients qui trouvent la solution intéressante pour pas dire géniale, mais intéressant, ils disent mais ou que j’aimerais bien mettre des commerciaux, allez, on va rester sur l’argentine et tu aurais des candidats là, je leur dis, je travaille avec des acteurs locaux. Donc on pourra, on pourra vous les présenter. Mais on a une super offre, en tout cas que je trouve génial chez multi part qui correspond au dernier kilomètre kilomètre de tous les dangers, c’est qu’on va offrir ce premier recrutement à nos clients. C’est à dire que des clients, à un moment qui se disent ok, la solution est géniale.

Jaoued (00:19:09) - Je n’y avais pas pensé. Puis je m’intéresse à ce pays là, mais je ne sais pas par quel bout tu me dis que toi, tu fais pas de recrutement. Moi, je te dis voilà. Je peux t’offrir ce grand. Je travaille avec un cabinet de recrutement spécialisé avant moi, ta fich de poste. Je te mets en relation avec eux. Bien évidemment, la condition si adjacente, c’est d’utiliser notre solution. Mais à partir de ce moment là, si tous les signaux sont ouverts, ils te trouvent la bonne personne et ça ne te coûte rien. C’est nous qui allons rémunérer cette personne. Et ça, c’est vraiment quelque chose qui plaît parce que comme tu le dis à pour un moment, c’est bien proposer une solution qui peut employer en argentine maintenant par quel bouche mi prend pour trouver le bon candidat est aussi un frein. Et nous, on veut lever ces freins là, en tout cas, le premier frein et on offre ce premier recrutement exactement.

Xavier (00:19:54) - Ok, ok, du coup tu, on parle de deux typologies de clients à la fois les gens qui veulent augmenter ou aller chercher des employés ailleurs ou des gens en France typiquement qui ont un salarié qui veut partir en Irak. L’exemple de l’irak tout à l’heure, c’est quoi un peu la typologie de tes clients que toi que t’as dans ton portefeuille, combien ça représente est ce que t’as beaucoup de digitales nomades qui veulent partir ailleurs. Et donc est ce que t’as plus des gens qui veulent augmenter leur marché. Comment, comment est ce que tu vois le truc?

Jaoued (00:20:23) - Moi. Donc moi, je suis plutôt, j’ai 30 de demandes de digital nomade, mais la majorité reste des demandes d’entreprises. Le premier, la première, ça dépend, mais c’est sur trois axes, la pénurie de talents. Aujourd’hui, j’ai besoin d’un développeur pour que j’ai le trouver. Will est sur une technologie particulière. Quelqu’un dans le bloc quelqu’un, tu vois vraiment, vraiment très précis. Et là, peu importe le prix qu’il coûte, je veux parce qu’il maîtrise une techno ou qu’il soit je veux l’embaucher. En deuxième lieu, t’as quand même l’expansion commerciale? C’est à dire que t’as plein de sociétés qui souhaite en découdre avec le monde qui souhaite l’expression mais bouffer le monde, mais tout en maîtrisant aussi un petit peu le côté, le côté cas, parce que ça coûte des sous ça. Ils y trouvent leur compte parce qu’ils disent ok, moi, j’embauche chacun. Je le trouve, je te paie le fil.

Jaoued (00:21:19) - Puis je vois comment ça fonctionne. Je n’est pas une grosse prise de risque sur sur le fait d’aller voir un nouveau pays. Et aussi tout ce, il ne faut pas non plus se leer. Mais on a aussi cet aspect. Ne r showing, c’est à dire d’aller chercher les mêmes ressources qu’on fait venir l’habitude de pays x ou et directement aller les employers là bas, parce que ça va me coûter aussi pour la même prestation. Je vais m’y retrouver exactement. Et je vais me dédouaner aussi tout ce qui est locaux. Il y a 1000 une chose. Donc j’irai vraiment. C’est le premier poule. C’est la pénurie de talent. Il faut que je trouve quelqu’un. Le deuxième, c’est qui vend, c’est, j’ai envie d’aller en doud dans ce pays. Jai envie de découvrir, j’ai envie de mettre une force là bas pour développer notre activité. Et puis à un moment, j’ai envie de monter une task force back dans ce pays là, parce que voilà, je, je vais m’y retrouver aussi, peut être financièrement aussi.

Xavier (00:22:12) - Ok, ok, c’est intéressant que t’es quand même quasiment 30 de digital nomade. Je pensais pas autant. En fait, je pensais que ça serait relativement marginal. Margin

Jaoued (00:22:23) - C’est des gens qui sont ouais. C’est des gens qui font des recherches sur le net et qui se disent ok, faut que je parte. J’ai pas envie de quitter la société qui m’emploie. Je m’y sens bien. J’ai envie de continuer. Mais aujourd’hui, c’est pas possible. Ils sont, ils sont qu’un en France, ils sont que x pays, moi, j’ai envie de partir à l’autre bout du monde parce que mon conjoint, ma femme x ou grec, a une super promotion. Il faut que je, il faut que je suive. Qu’est ce que je peux faire? Les gens essaient de se débrouiller aussi pour trouver la solution et apporter la solution à alors à leur employeur. Carrément.

Xavier (00:22:56) - Ok, ok, comment est-ce que tu? Parce que du coup EUR est par définition une boîte multinationale? D’ailleurs, j’ai pas à vérifier, mais c’est us à la base. C’est une boîte américaine à la base.

Jaoued (00:23:10) - Non? Singapour, Singapour.

Xavier (00:23:12) - Ok, comment est-ce que tu vois le marché français? Toi, comment est ce que tu vois? Le marché français par rapport à tes collègues qui dit j’imagine des collègues un peu partout dans tous les pays.

Jaoued (00:23:24) - Ouais. Eh bien, franchement, c’est une excellente question. Eh bien, le marché français, pour prendre un exemple par rapport au marché e le marché qu est beaucoup, beaucoup plus dynamique par rapport à à la notion que on appelle communément ioi employeur record. Ils en usent vraiment, vraiment, vraiment beaucoup. Ils n’hésitent pas sur le côté, ne storing of floing pénurie de talent ou expansion commerciale. C’est vraiment une pratique. J’ai envie de dire commune connue et utilisée en France. On est encore sur une partie découverte. Moi, je fais découvrir cette solution encore à pas mal de sociétés qui trouvent ça sur le principe génial, mais qui ne connaissaient pas avant avant que que je leur embarde la digitalisation, la pénurie de talents en France, elle est là. Donc il y a toujours ces gens là qui sont on est toujours en pénurie de talent. Et quand on propose aux employeurs, aux RH, de nouvelles solutions pour parer à ces, à cette pénurie y sont intéressés.

Jaoued (00:24:26) - Et j’ai envie de te dire, parce qu’on avait quand même une culture du présentiel en France, qu’il ne faut pas qu’il ne faut pas nier aujourd’hui les sociétés de plus en plus que ça, parce que moi, je ne suis pas sur un mode. Si tu veux que ça soit du 100 pour imo, on peut monter une task force en argentine et louer des bureaux là bas pour eux. Tu vois? Et donc avoir une des gens qui soient entre guillemets soit hybrides ou soit 100 de leur temps au bureau, on est vraiment une sur une réponse d’employer des personnes dans les dans des pays dans lesquels les sociétés n’ont pas d’entités légales. Et ça, pour le côté français, ils y viennent de plus en plus par la force des choses, parce que le secteur parle le secteur de la tech, mais il y a le secteur aussi de la digitalisation.

Jaoued (00:25:13) - Il y a pas mal de rapports qui sont qui sont qui sont apparus là dessus est toujours en pénurie, même là, s’il y a un petit frein, parce que voilà, il y a eu quelques secousses au niveau du monde de la tête. C’est toujours un marché sous tension. Donc, à un moment, il a faut aller chercher les personnes là. Il est possible de les recruter rapidement puisqu’on a possibilité de les faire venir en France via différents visas. Mais ça, ça coûte aussi beaucoup d’argent et ça m’eut beaucoup de temps. Et j’ai envie dire, le marché français s’y met de plus en plus. Ça, c’est une bonne chose. J’ai envie de dire peut être par la force des choses, un peu à marche forcée. Les entreprises françaises s’y mettent de plus en plus.

Xavier (00:25:54) - Je trouve aussi que pourtant c’est un sujet que moi, j’ai pas mal, pas mal, regardé un peu dans tous les sens. Et effectivement, les solutions comme comme EUR elles sont relativement peu connues encore maintenant et sur toutes les personnes que j’ai interrogées dans ce podcast, effectivement, il y en a un relativement peu. Je pense que encore il voyage. Je pense qu’il y a que comme court dans l’épisode 34 ou 33 qui l’avait utilisé, je pense à peu près que c’est le seul. Donc c’est encore relativement peu connu et il y a un vrai travail à faire là dessus. Encore, hyper intéressant,

Jaoued (00:26:28) - Mais c’est grâce à, c’est grâce à des podcasts. Tiens Xavier carmon qu’on arrive, tu avec avec moi avec toi, le fait que le nombre de personnes qui écoutent ça, il a obligé à un moment, des gens qui vont s’y intéresser et ça profitera à l’ensemble de l’écosystème. Mais surtout, ça profitera parce qu’il n’y a rien de plus frustrant. Je parle d’un côté là, je d’un employeur d’avoir du business, mais pas avoir les ressources. C’est complètement un moment. On a du business, on limite, on dit aux clients, on ne peut pas y répondre. C’est alors qu’on pourrait le faire juste en allant ant des talents où il se trouve et parfois même faire arriver à faire. Ça n’a pas des économies, mais une optimisation au niveau au niveau, ce qu’on a dit embauche, taxe, voire même bureau, et aussi, mais avec t’as pu le voir. Ce que quand j’écoutais tes podcasts, c’est que le confinement a changé.

Jaoued (00:27:23) - Même la vision des travailleur. Je n’ai pas dire travailleur, mais si des gens qui bossent, ils ont pu forcément d’avoir du 100 présentiel ou ou même de partir un moment pour une durée de leur vie, avoir une expérience sachant qui peuvent faire le même job juste ailleurs. Tu vois sur le même fuseau aire, on s’arrange enfin et et ça aussi, les sociétés les lâchent, parce je vois les sociétés, dit les sociétés en face, c’est un peu moins dynamiques au niveau de noir, mais elles se mettent en cartes aujourd’hui pour proposer des du télétravail des semaines de quatre jours. Toutes ces avancées sont là pour pour attirer les talents. Et ça, ça peut être dire une flèche de plus à leur arc pour faire toujours attirer cet amende là.

Xavier (00:28:14) - Tiens d’ailleurs une question qu’on m’a posée récemment est ce que tu as l’impression que la hype autour du télétravail allait retomber ou pas est ce que toi tu le vois dans tes activités. Moi, j’ai l’impression que après le confinement, pendant le confinement, pendant la pandémie, il y a eu un vrai truc sur le télétravail. Tout le monde parlait de télétravail forcé au début. Et puis que depuis tu as le côté un peu fait du travail s’écoule. On en est un peu revenu, qu’il y a beaucoup de bottes qui sont qui se sont un peu repliées en revenant sur du présentiel, les grosses boîtes, souvent, tu en a toujours, je pense que ça grossit toujours, mais que vraiment le côté, un peu buzz autour de ça et redescendu, comment est-ce que toi, tu vois le, tu vois le truc? Si tu sais, tu vois quelque chose d’ailleurs, mais je pense que oui,

Jaoued (00:28:57) - Non, non, je le vois ta raison, t’as de plus en plus de sociétés qui souhaitent ce retour, ce retour au bureau et en même temps. Et comme tu l’as dit aussi, quand t’as dit ces grosses boîtes qui sont aujourd’hui, tu peux avoir des locaux vides, une présence internationale, mais dans tous les cas, en fait, comme j’ai envie de dire moi et après aller les scallop, les gens qui vont aller chercher et qui veulent que tout aille très vite au niveau de leur leur propre. Donc aller chercher les talents ou ils se trouvent, mais aussi aller en expansion commerciale et aller et aller conquérir des territoires. Et là, avant d’aller, on est la pré étape parfois avant l’ouverture de locaux, puisque un moment, si t’as une trentaine de personnes en Espagne, c’est peut être bien que tu pense à ouvrir ta propre, ta propre là bas.

Jaoued (00:29:43) - Par contre nous, ce qui est bien, c’est que on dit juste le message qu’on envoie aussi à l’ensemble de de ces boîtes là, c’est que nous on propose que vous employez des personnes à l’étranger dans un pays dans lequel vous n’avez pas d’entités légales ensuite libre à vous. Si vous souhaitez louer des offices là-bas et avoir une politique hybride ou foule présentiel, j’ai trop respect pour pour ces sociétés là et leur politique arrache pour déterminer ce qui serait bien en pas moi, je vous dis juste que si à un moment vous voulez monter une task force en Espagne, dans l’argentine, si vous voulez laisser les gens en foule, imo travailler depuis chez eux ou que vous souhaitez prendre des locaux en centre ville et qu’ils aient une politique hybride, nous, nous, on cannibal pas ce retour x ou pas de souci par rapport à ça.

Jaoued (00:30:32) - Voilà un peu la vision dans laquelle j’ai et après ça, ie des structures, parce que si t’as là où t’as la pénurie de talents là dans la te, dans les profils d’ève, dans les profils, Haïti, dans les profils aussi un peu, parfois sa, ce n’est pas toutes les sociétés qui peuvent se permettre de dire on fait un retour au bureau. Comme tu l’as dit, des fois dans les grandes sociétés, ça se voit un peu plus que dans les sociétés de taille un peu moins qui sont en devenir, mais dans lesquels la flexibilité est de mise plutôt que

Xavier (00:31:01) - Ok, ok, intéressant d’avoir ton point de vue là dessus, une question un peu taquine. Quelles sont les choses qui manquent encore chez er? Quelles sont les choses que tout qui pourraient être améliorée sur votre offre?

Jaoued (00:31:19) - Je mets un blanc parce que j’en trouve pas de but en blanc. Cette question génial, non, non, mais les retours de mais c’est vrai. Les retours de pierre sont toujours sont toujours top par rapport à ça. Moi, ce que je pense c’est, c’était une une tradition encore dans plus de langues de notre site internet. Par exemple, tu vois qu’il soit beaucoup plus, beaucoup plus accessible dans différentes langues. Et toujours, j’ai envie de dire, on pourrait, on pourrait encore aller plus loin dans l’accompagnement de de ressources d’accompagner les gens. On ne veut pas, on ne veut pas faire un métier qu’on connaît pas, mais moi, je le sens que c’est beaucoup. C’est le dernier kilomètre ou en fait, tout le monde trouve ça. Génial. Et après se dire, mais comment je trouve quelqu’un aux philippines? Comment je trouve quelqu’un en argentine? Et là, je pense qu’on on a tête une carte à jouer en allant tout en nos responsabilités, en disant qu’on ne le fait pas. On n’est pas des gens qui font ça très bien, mais d’aller plus loin dans le partenariat avec des gens de confiance sur pour trouver le bon candidat et qu’après il y ait plus d’excuses ou il y ait plus de deux freins à l’utilisation de notre notre solution à ce que je le répète, on est une solution face dans la white charte. Donc une solution d' employment d’employer des gens à l’étranger, pas de recrutement. C’est vraiment un métier particulier qui demande encore beaucoup d’humains derrière et de fini et de connaissances de plein de choses.

Xavier (00:32:47) - Ok, merci. Pour ton honnêteté. Je finis toujours le podcast avec avec la même question, quel conseil tu donnerais à une personne qui veut embaucher un salarié à l’étranger? Du coup,

Jaoued (00:33:04) - Je lui dirai franchement, je ne sais pas du tout. On me dire dé magot ma part, mais inscri toi sur le site de multi payeurs, regarde notre talent t wiki dans le pays dans lequel tu t’intéresses laki c’est le widget qui donne pas mal d’informations. On a un salar data aussi qui permet de connaître la moyenne des salaires. Renseigne toi bien sur l’ensemble des informations et chars que tu peux avoir dans ce pays là afin que ça soit en adéquation avec ce que tu souhaites offrir à un employé. Et surtout, n’hésite pas à de faire conseiller par des gens des gens comme nous avec en dédouanons de tout ce qui est très, très prenant. Très, très, très, très poète aussi très, très stressant. E toi sur ton binet, ois sur retrouver les bonnes personnes et les faire travailler à la croissance dans leurs entreprises. Le côté pétrole compliance contractuel mutuelle. Je pense qu’on fait n’a pas d’entités dans le pays. On fera ça beaucoup mieux que toi tout seul.

Xavier (00:34:07) - Ok, ok. Écoute, merci beaucoup. Ja, pour ce podcast. Je pense qu’on a fait, on a fait le tour de vraiment, vraiment du sujet. Donc c’était cool et est ce qu’on peut te contacter en ligne. J’ai vu que t’allais linke dedin je peux mettre ton lin est ce que tu veux que je mette des liens dans la description.

Jaoued (00:34:25) - Eh, mais carrément, tout lin pour n’importe quelle question, je serai ravi d’y répondre. J’ai aussi un numéro de téléphone whats on y va. Moi, je suis là pour répondre à l’ensemble des questions que ça soit d’un point de vue employeur, mais même les digitales nomades qui sont qui suivre ta communauté moi, si elles ont des questions, un peu plus techniques ou qui, en particulier qui n’hésitent pas, c’est le ferai, ça grand plaisir,

Xavier (00:34:49) - Ça marche.

Jaoued (00:34:52) - Merci beaucoup pour le Podcast. Elle n’hésite pas. D’ailleurs, j’ai dit qu’elle n’hésite pas. C’est pas très français. C’est quand je quand je me écoutes maintenant, il n’y a pas de souci, mais merci à toi. Merci de faire vivre cette cette communauté, de mettre en amont de voilà plein plein de choses qui existent des retours d’employeurs d’employés, mais aussi, j’ai vraiment été passionné par des gens qui mont des choses à l’autre bout du monde, comme c’était dans tes podcasts. Et voilà donc prendre ce côté là comme une grande opportunité tout en le maîtrisant cette,

Xavier (00:35:23) - Merci à toi jaoued. Et je continue. On a plein de nouvelles choses qui arrivent dans le podcast. Donc j’ai bien l’intention de continuer. Merci pour pour les encouragements et pour le retour. En tout cas, merci d’avoir écouté. Génération imo. Si ce podcast vous a plu, n’oubliez pas de le partager autour de vous et de lui donner cinq étoiles sur iTunes. C’est la meilleure façon de m’aider. Si vous cherchez un emploi full, allez faire un tour sur remoter com. C’est un job board qui regroupe que les emploi teques pourcent. On se retrouve dans 15 jours pour un nouvel épisode. D’ici là, portez-vous bien.

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