Génération Remote - Le podcast sur les bonnes pratiques du télétravail

#39 - Etre digital nomad et freelance, avec Ambroise Debret

Posté le 12. Juin 2023  (Dernière modification le 13. Janvier 2024 )
54 minutes  • 11369 mots

Dans cet épisode de Génération Remote, nous plongeons au cœur des opportunités offertes par le télétravail, le digital nomadisme et le freelancing. Rejoignez-nous alors que nous accueillons avec enthousiasme Ambroise Debret, un freelance et digital nomad depuis 6 ans, qui partage généreusement son expérience et ses connaissances pour aider les personnes à saisir ces nouvelles voies vers la liberté professionnelle.

Au cours de notre discussion, nous explorons également les principes révolutionnaires du livre “La semaine de 4 heures” de Tim Ferris, qui nous guident dans l’art de façonner la vie que nous désirons, de lancer une entreprise en ligne et de la rendre autonome grâce à l’automatisation et à la délégation, afin de savourer pleinement notre liberté.

Ambroise a découvert l’appel du digital nomadisme en 2012 et a embrassé le freelancing en 2013, influencé par les enseignements du livre de Ferris. Il souligne l’importance de choisir le bon modèle d’entreprise en ligne, comme le freelancing, par opposition au dropshipping. De plus, il partage sa vision unique de l’organisation d’une vie nomade, en abordant les différentes phases de cette aventure, y compris la fameuse étape du “chien fou”, où l’on jongle entre travail et exploration incessante de nouveaux horizons.

Ambroise nous parle également de son attachement à travailler au sein d’une communauté ou d’une “tribu” de digital nomads. Il nous révèle comment il coordonne des rencontres avec d’autres nomades grâce à un groupe Facebook qu’il a créé, rassemblant près de 7 000 membres. Ces rencontres sont organisées dans divers endroits tout au long de l’année. Il souligne également les défis de convaincre les clients de comprendre et d’apprécier ce mode de vie unique.

Nous explorons également la trajectoire d’Ambroise, qui est passé du statut de freelance digital nomad à celui de formateur et créateur de contenu. Il partage avec nous sa méthode, qui a débuté par des enquêtes menées au sein de sa communauté pour comprendre les besoins des individus. Cela l’a conduit à lancer son programme phare, Froth, en septembre 2019, qui a déjà accompagné plus de 350 personnes dans leur transition vers le freelancing. Son objectif audacieux est d’aider 100 000 personnes à atteindre leur liberté professionnelle, et il a déjà compté plus de 10 000 étudiants ayant suivi ses cours.

Ambroise partage également sa philosophie de création de cours en ligne et dévoile sa méthode pour organiser et animer des formations à distance. Il met l’accent sur l’importance de capter l’attention de l’audience en proposant un contenu facilement assimilable. En plus de ses cours, il offre également du coaching et un soutien individuel à ses étudiants, les aidant ainsi à atteindre leurs objectifs de façon personnalisée.

Enfin, nous abordons l’importance de trouver un équilibre entre la liberté offerte par le télétravail, le digital nomadisme et le freelancing, tout en maintenant une discipline et une structure nécessaires pour prospérer dans ces modes

3 épisodes sur le thème du digital nomadisme:

Le livre dont on parle dans ce podcast:

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Le Transcript de l’épisode

Xavier (00:00:06) - Salut, je suis Xavier Coiffard et je vous présente génération remote, un podcast qui explore une nouvelle façon de travailler. Lisez essaie de comprendre comment est-ce qu’on peut travailler autrement dans ce podcast? On parle de télétravail, de digital nomade et de comment se créer son propre mode de vie dans un monde de plus en plus numérique, je vous propose d’explorer ces différents univers sans filtre avec des personnes qui vivent au quotidien. Si ces sujets vous intéressent abonnez vous.

Xavier (00:00:37) - Bonjour à tous. Aujourd’hui, je reçois ambroise Debret avec avec qui on va parler de digital nomadisme et de formation en ry motte salut. Ambroise est ce que tu peux te présenter rapidement.

Ambroise (00:00:50) - Salut Xavier, merci de maur sur ton podcast. Donc moi, c’est ambroise debry. Je suis en ce moment à Séoul, en Corée. Je suis freelance depuis 10 ans et digital nomade depuis six ans maintenant et aujourd’hui m’ont été été principales, c’est de former des gens à soner, en freelance pour devenir nomades ou en tout cas vivre leur liberté.

Xavier (00:01:10) - Ok, c’est hyper intéressant. On en parlait en off. Tout à l’heure était digital depuis très longtemps. Bien avant que ça soit ça, soit à la mode depuis 2017 et a produit beaucoup, beaucoup de contenu sur le sujet que ce soit sur ton site internet sur sur youtube. Tu fais aussi des podcasts et actifs sur Instagram actif un peu partout sur le sujet. Donc je suis content de te recevoir sur le podcast. Est ce que tu peux me dire pourquoi est ce que t’es parti en digital noma en 2017 à l’époque ou ce n’était pas du tout

Ambroise (00:01:47) - Ou en fait, moi, ça remonte même à avant ça, parce qu’en fait moi, j’ai découvert le misme en 2000 fin 2012. En fait, j’ai un prof d’entrepreneuriat en cours. J’étais étudiant au Canada qui apporte en classe le livre la semaine des quatre heures à tim Ferris qui a lancé tout ce mouvement. Et donc je le demande à mes parents pour Noël, tu vois en mode d’étudiant faucher et et en fait, je le lis, je le lis pratiquement d’une traite. Quoi? C’est une énorme claque sur tout ce que je faisais à l’époque. J t’étais eue en école de commerce, tu vois, je m’engageais à bosser pour des boîtes, une carrière normale, etc. Et donc, à partir de ce moment là, en fait où je découvre le nomadisme, c’est ma révélation. Tu vois, c’est un peu ma mon étoile que je veux suivre et que le rêve que je veux accomplir.

Ambroise (00:02:25) - Et donc je mets tout en place dès ce moment-là pour y arriver. Donc je me lance en freelance dans les semaines qui suivent. Donc début 2013, c’est pour ça que ça fait aussi longtemps que je suis freelance. Alors que j’étais encore étudiant et je, je continue, tu vois m’avoir un petit peu classique d’étudiants en école de commerce, montre des petits projets de droite à gauche. Au début, je pensais plutôt être, je pensais plutôt, tu vois me lancer comme dip fer en faisant du commerce drop shipping. Mais en fait, il s’avère que je fais plein de tests pendant des années en sur mes études, en étant après salarié pendant un mois et demi, un an et demi. Et je, je réalise en fait que le free laing, c’est ce qui fonctionne le mieux pour moi pour gagner ma vie en ligne en tant qu’indépendant. Et donc est donc 2017 pour ça, en fait, parce que je découvert un nomadisme fin 2012, mais ça a pris finalement cinq ans pour que je finisse mes études, que j’arrive à trouver une man, gagner ma vie en ligne. Tu vois aujourd’hui nomadisme, ça paraît limite à ses courants. Tu voyais beaucoup de gens qu’ils font à l’époque. C’était, mais est ce que c’est vraiment possible. Tu vois et tu pouvais pas rencontrer de nomades en 2013, 2014. Tu vois,

Xavier (00:03:25) - Est ce que est ce que tu peux nous nous dire en nous résumer en trois phrases, c’est peut être pas parfois très facile, mais le bouquin la semaine des quatre heures, quels sont les grands concepts qui annonces? Parce que tout le monde est la tête pas lu.

Ambroise (00:03:37) - Ouais. Alors en fait, c’est, c’est un livre qui est qui a plein de facettes. En fait, je me le relie tous les ans. Tu vois? Depuis que je l’ai lu et à chaque fois que je le relie, je découvre une facette différente. Et en fait, le titre vient du fait que quand t’as lancé un business en in automatisé, etc, tu peux le gérer en quatre heures par semaine. Ce qui est un peu utopique est ce que tim Ferris n’a pratiquement jamais fait. J’ai jeté par relation interposées, tu vois à quelques connexions de tim ferry et je sais que lui bosse des semaines de malade. Tu as quatre ans par semaine, etc. Donc c’est pas vraiment ce qu’il fait, mais c’était un peu l’objectif. Mais concrètement, le livre y passent par différentes étapes. Donc c’est à d’abord définir la vie qu’on la vie qu’on veut. Et souvent on se rend compte que c’est beaucoup moins inintégrable que ce qu’on pense pour ensuite se dire, ok, pour avoir cette vie là, pour pour avoir, je ne sais pas pour des gens, c’est une Ferrari, d’autres d’autres personnes, c’est vivent sur un voilier, etc.

Ambroise (00:04:28) - Il me faut tant d’argent. Et donc mettre en place qu’il faut pour gagner cet argent là, ensuite, c’est de lancer son activité en ligne. Donc l’activité qui va nous rendre libres. Donc lui, comment le e commerce, moi aujourd’hui, c’est clairement beaucoup plus ce free laing que je recommande. Et je vais écrire un livre sur le sujet d’ailleurs, dans l’année qui vient de freeing, comme elle a gagné sa vie en ligne peau des nomades parce que le drop shipping et tout ça, c’est clairement, ça peut fonctionner si les gens savent ce qu’ils font, mais se lancer là dedans aujourd’hui, avec les barrières, l’entrée qui sont minimes et la compétition, c’est du suicide ou en tout cas, c’est très, très peu de chance de réussite. Et ensuite baser avec cette activité là qui fonctionnent, quitter son emploi éventuellement, et puis optimiser son activité automatisée déléguée, éliminer et après profiter de sa liberté, en gros. Mais ça, c’est le truc, c’est le parcours du livre, mais en gros, pour moi, c’est une bible de productivité et de façon de créer ses propres définitions du monde.

Xavier (00:05:27) - Ok, intéressant, il faut que je me le relie. Tu m’as donné envie de tu m’as donne envie de replonger dedans. Je le mettrai d’ailleurs en description en description du podcast et du coup. Donc, digital nomades depuis 2017, on a déjà eu sur ce podcast des digitales nomades. On a eu, on a eu cyrille barême et Augustin de laporte, un entrepreneur, l’autre salarié qui était digital nomade en camping. Et on a eu aussi médi boisi il n’y a pas très longtemps. Qui, du coup, lui voyage un petit peu tous les trois envoyé tous les trois, quatre mois de pays en pays en airbnb. Comment est ce que toi tu, tu organises ta vie digital deane? Quel type de digital nomades tu es en fait.

Ambroise (00:06:08) - Ouais. Alors moi, je voyage. Je me déplace en général tous les un mois et demi de mois. Donc je suis plutôt s de mal là qui bouge quand même assez régulièrement, mais pas non plus toutes les deux semaines. Et je suis passé par différentes phases. En fait, moi, j’ai un peu essayé de théoriser le nomadisme, tu vois, en regardant ce qui se passe sur le terrain, etc. Et c’est nommé trouvailles. Tu vois, c’est que les gens, quand ils sont en nomade, qu’ils ont travaillé des années pour que a, etc, ils ont cette phase, un peu de chien fou. Tu vois? Ou ça y était enfin libéré et tu peux faire ce que tu veux. Donc les gens essaient de travailler en bougeant tous les deux jours en visitant, etc. C’est ce que j’ai fait quand je me suis en 102 017, tu vois, j’étais vraiment en mode chien fou, genre, j’ai bougé partout en Thaïlande pendant pendant trois semaines, un mois. Et en fait, au bout d’un mois, d’un mois et demi, j’étais cramée quoi? J’ai dû me poser et me me remettre un peu en causer tout ça parce que c’est voyager déjà en mode touriste rapide. C’est épuisant. Mais quand tu travailles en plus et tu dois trouver, ok, où est-ce que je vais ou est ce que je dormir? Comment je vais, comment je travaille? Tout est ce que je travaille, etc. C’est, c’est épuisant.

Xavier (00:07:09) - Il faut tout réapprendre à chaque fois.

Ambroise (00:07:10) - Quoi? Je suis nomade, c’est ça, moi, je suis nomade. Tu vois? Je me considère nomade, équilibre, qui est la deuxième catégorie. Et la troisième, c’est plutôt les nomades spa. Tu vois un peu qui vont rester. Tu vois trois à six mois par endroits.

Xavier (00:07:22) - Ok, ok, intéressant. Et j’ai vu que tu es que tu aimais bosser en tribu. On en parlait aussi avant, avant, avant le recording avant l’enregistrement est ce que tu peux me dire comment est ce que ça s’organise? Parce que effectivement, encore une fois, les nomades que moi je soit, j’ai rencontrés, soit j’ai eu sur ce podcast. C’est des gens qui sont quand même assez souvent solitaires au final, parce que la plupart des gens ne bougent pas tous les mois ou tous les trois mois. Et donc, en fait, ils naviguent de communautés en communauté. Ils essaient de trouver des endroits qui sont déjà riches en termes de communautés de nomades ou communautés d’entrepreneurs de startup, etc. Et toi, on a l’impression que tu ta tendance à vouloir bouger en groupe, on va dire comment estce que tu, comment est ce que tu organises ça et d’où ça vient?

Ambroise (00:08:11) - En fait, moi, j’aime bien, j’aime bien alterner en fait, alterner un peu tous les sites de voyage et de chambouler un peu tout ça. Tu vois, est ce que voyager que dans des endroits qui sont des hebdomades, etc. C’est cool, mais c’est plus ou moins toujours le même genre d’ambiance, même genre des personnes, même genre d’endroit. Tu vois ça? Être un endroit ou le coût de la vie n’est pas trop cher, plutôt tropicaux, etc, etc. Moi, j’aime bien bouleverser un peu ça. Tu vois, c’est à dire que je peux, je peux aller tenter de travailler du Laos sans m’en parler juste avant, alors qu’il n’y a pas de nomade parce que c’est très compliqué de bosser, mais je peux aussi adorer à aller passer quelques mois à Lisbonne ou autre. Donc, j’aime bien un peu varier l’édition en plaisir, pareil là j’ai, j’ai une copine nomade, donc on bouge ensemble le plus souvent, mais j’aime bien aussi voyager entre amis en famille.

Ambroise (00:08:51) - Donc j’aime bien varier un peu tous les plaisirs, mais un mode que j’aime beaucoup dont tu par, c’est le mode un peu tribut que j’appelle c’est en fait grâce à activité. Tu vois, ça fait comme tu disais, c’est longtemps que je cré du contenu là dessus, j’ai, je suis admis, j’ai créé un groupe Facebook de presque 7000 personnes, qui est la référence en francophonie, en nomadisme. J’ai du monde qui me suit sur les réseaux, je cré du contenu et je forme des gens à bien. Donc j’ai en fait un espèce de communauté qui gravite autour de moi dans ce monde là, j’ai aussi tout un réseau de gros whats sapp. Et en fait, j’essaie de coordonner pour qu’on se retrouve à endroit donné à certains moments de l’année. Ce qui marche mieux pour l’instant, c’est se retrouver en début d’année parce que tout le monde en général, rentre en famille, à Noël, etc.

Ambroise (00:09:28) - Se dire ok, tout le monde légal dans le groupe, on va en Thaïlande à tel endroit. Au début, l’année, il y a un peu de, tu vois de fait de convaincre les personnes de dire mais s’il vient, ça va être coup, il y aura tout le monde y aura un tel. On va faire ça, etc. Et c’est arrivé plusieurs fois, tu vois? Et le COVID a été a été en fait la raison comme pourquoi j’ai découvert ça, c’est qu’en fait pendant COVID, je suis allée à Lisbonne en en fin août 2000 21, 2020. Pardon, en fait, c’était la seule, la seule ville et pays qui étaient un peu ouverts en Europe à ce moment là du COVID. Et donc il y avait plein de gens francophones nomades et on s’est rencontré tout cela bas, pratiquement tu rien là que je connaissais d’autres pas la plupart pas.

Ambroise (00:10:05) - Et après on s’est dit ok, où est ce qu’on va? Qu’est ce qui est ouvert en ce moment? Ok, le Mexique et open, c’est parti au Mexique, tu et ensuite ça s’est un peu fait comme ça. On sait, on s’est suivi, on s’est arrangé pour pour se retrouver comme ça. Tu vois? Et donc j’aime bien, tu vois récemment j’étais à cm, on était une bonne vingtaine d’amis ou connaissances nomades qui sont là. Tu vois, c’est pas juste moi. Ok, je connais peut être 10 personnes, mais tout le monde a des amis d’amis. Il y a des gens sur place, etc. Tu vois? Donc c’est arriver comme ça au Mexique, à différents endroits en Thaïlande, à Bali, même là, tu vois à Séoul, qui n’est pas forcément une ville de no. On va être à peu près une petite dizaine de gens de mon réseau qui se connaissent donc sympa

Xavier (00:10:42) - Un peu ce

Ambroise (00:10:43) - Et et peut être pour comprendre le truc, l’idée, en fait, c’est se retrouver dans endroit et d’être soit dans le même. La version ultime, c’est dans le même dans le même immeuble. Tu vois, c’est arrivé parfois qu’on est un appart dans chaque étage d’un immeuble à statue, personne ou alors dans le même quartier, tu vois que on se dit ok, on a un groupe. Ok, ce matin, je vais travailler un tel de café qui vient ce midi qui va aller manger des tacots à tel endroit. Tu vois ce week en qui va aller faire un retr trip là? Tu vois en fait d’avoir ce mode là nomade. Quoi? Et en fait, c’est comme tes collègues ou tes amis quand t’es quand tes sédentaires à paris autre, mais en version nomade et des gens qui ont pas les mêmes, souvent le même genre d’activités en ligne que toi ou qui sont complémentaires. Et tu vois, on a toutes ces notions là, toutes ces points commun. Quoi?

Xavier (00:11:27) - Ok, ou c’est intéressant, c’est vrai que du coup du coup, ça enlève quand même vraiment le poids. Je voyage tout seul, aussi peut être, je dois réprendre j’imagine que quand t’as un réseau, quand tu vas à Séoul là, par exemple, il y a probablement des gens qui disent bah, si tu vas Séoul, va dans tel quartier, c’est le meilleur. Tu pourras aller bosser la et là, oui, parce que c’est pas forcément facile de trouver de la donner sur sur les gros. J’imagine que c’est très simple, genre Chang maï Lisbonne, Bali et tout ça, je pensais, c’est très, très facile. Mais le Laos, par exemple, un peu plus compliqué pour savoir où se poser, comment travailler, etc. Quoi? Est-ce que l’internet est bon?

Ambroise (00:12:01) - C’est ça. Et c’est là, c’est là tout l’avantage d’avoir par tout la puissance de la communauté. Tu vois, c’est que dans dans les groupes, dans les groupes papp, je suis pas combien aujourd’hui, mais plusieurs près de deux sang, je dirais en tout. Il y a forcément quelqu’un là dedans qui a été au Laos qui a tant d’y aller. Tu vois moi et je sais qu’il y a une personne justine, par exemple, qui a été à peu longtemps. Donc on peut les données fraîches en fait sur ce qui se passe et comment ça se fonctionne. Donc c’est assez assez cool. Mais après la solitude, moi, j’aime bien. Tu vois des fois est en bas de solo, tu vois? C’est la liberté intime aussi. Tu fais ce que tu veux quand tu n’as pas d’obligation sociale. Donc c’est varié un peu les plaisirs.

Xavier (00:12:33) - Ouais. Ok, ok, du coup, comment est ce que tu organises ton activité professionnelle? Tu dis que t es freelance, tu fais aussi l’information. Quand est ce que tu arrives à trouver des missions. Comment est ce que tu comment est ce que tu fais, rentrer l’argent qui permet de voyager et d’avoir ce mode de vie?

Ambroise (00:12:49) - Oui. Alors comme je disais en fait, au début, j’ai testé un peu tous les toutes les façons gavant ligne. J’ai monté à, j’ai monté plusieurs startup, j’ai fait du commerce, j’ai fait des événements en ligne. J’ai plein de trucs. En fait, le freelance est ce qui m’a permis en fait de passer 100 pour à mon compte et de pouvoir voyager, donc, de quitter mon boulot, etc. Et donc, pendant pendant quelques années, j’ai été principalement freelance et en voyage, mais je pouvais aussi avoir d’autres projets à côté, etc. Tu vois, j’ai donné un courage c HC, Montréal pendant un an, en étant FR à côté, j’ai start en en FR à côté. Donc moi, j’étais à mon compte et en fait, il y a plusieurs trucs qui se sont passés déjà. Comme je te disais, j’avais commencé à créer du contenu début 2009 sur le nomadisme en français avant j’en créé un anglais, mais j’étais j suis en français et j’avais aussi donné pendant un an.

Ambroise (00:13:37) - Donc trois sessions à cours à chausser Montréal. Et en fait, le combiné de ça a fait que on a commencé à me demander comment je voyageais en travaillant comment je gagnais ma vie en ligne, etc. Et d’un autre côté, aussi les formations en physique où je devais me répéter chaque session, les mêmes cours aux quais. Séance un, c’est là-dessus, séance de la sation, etc. J’ai dit, ok, il faut absolument que que j’arrive à faire quelque chose qui qui me convienne à moi et où je fusse partagé tout ce que je sais au plus grand nombre, parce que je faisais des coaching en direct en one, on on sur avec des personnes que j’aidais à ser en freelance, je trouver leur activité, etc. Mais ce n’est pas forcément le format que je préfère. Moi, tu vois, ça me fatigue énormément les coaching individuels, s’il y a différents différents types de personnes.

Ambroise (00:14:16) - Et moi, je préférais carrément avoir un truc où j’avais une formation que je passais beaucoup de temps, beaucoup d’énergie à faire et qui était bien faite, qui était digital, que les gens pouvaient suivre, peu importe si moi, je suis à l’autre bout du monde et eux à l’autre, encore à l’autre bout du monde, peu importe si je suis malade ou autre, peu importe et pas avoir à me répéter. Et c’est là, en fait que j’ai commencé à faire des sondages à ma communauté. Tu vois, j’allais écrire déjà le groupe Facebook à cette époque-là, etc. Voir ok, comment est ce que je peux vous aider? Qu’est ce que vous voulez que je vous ai à faire? Tu vois? Oui, je suis nomade ou je suis freelance et la réponse à ça, c’était aide nous à censer, au freelance pour pouvoir voyager. Et donc j’ai à lancer en pré, lancé en septembre 1000, 19 à froth, qui est toujours mon programme phare pour donc devenir freelance libre, pas forcément nomade mais libre selon saion de la liberté, qui est encore le programme principal que j’ai pour aller de freelance aujourd’hui, c’est pour donner idée, c’est plus de 350 personnes qu’on a accompagnées et coaché à devenir freelance.

Ambroise (00:15:12) - Donc ça commence, ça commence à être pas mal. C’est une des références en francophonie pour le free laing et le nomadisme. Et en fait petit à petit, au fait, à mesure que j’ai vu l’ampleur et la puissance de ce programme là, dés accompagnement de la communauté que j’ai écrit aussi. Je me suis dit freelance, c’est cool, ça me paye bien. J’ai atteint un super niveau, etc, mais en fait, ça me fait plus autant trier qu’avoir mon projet. Tu vois de formation d’entreprise parce que c’est pas juste formation, mais c’est une entreprise, faut gérer le marketing, faut gérer le support client, faut gérer moi aussi la création contenu et tout ça. Et je me suis dit ok, en fait, ce que je veux faire, c’est que je vais petit à petit réduire mon activité freelance et augmenter mon activité de formation. Tu vois? Et aujourd’hui ce qui fait que je passe, on va dire 90, 90 plus pour 100 de mon temps en tant que formation.

Ambroise (00:16:01) - Donc je dis formation, mais c’est écrit du contenu. J’ai une scène youtube. Tu vois des semaines, une vidéo, un v voyage, tout ça, podcasts sociaux animés en fait, tout ça pour ma fondation, c’est pas juste les gens qui paient pour être formés, mais c’est toutes les personnes que je peux aider sur mon chemin. Tu vois? Et aujourd’hui geste objectif d’aider 100 000 personnes dans leur cas de liberté. Aujourd’hui, j’ai 10 000 personnes qui ont suivi au moins une de mes formations offertes. Tu vois, je ne parle même pas des pé. Et donc c’est vraiment ça, mon truc. Et quand j’ai vu l’impact que je pouvais avoir, j’ai dit ok, je peux être aligné à 100 entre le nomadisme, les compétences de vente en freelance extra que j’ai acquises le côté digital, mon métier à la base, qui est le marketing digital et faire faire de tout ça un projet qui a du sens qui aide le max de monde et qui m' compliment. Tu vois? Parce que faire des missions freelance pour des clients, c’est cool, mais ce n’est pas, ce n’est pas ta boîte au fond d’un moment. Et puis moi, je suis plus surprenant dans l’âme. Quoi

Xavier (00:16:54) - Ou je comprends, je comprends tout à fait ce que tu dis, ce que moi, j’ai un peu le même parcours. En fait, j’ai commencé comme freelance et puis en réemployé et puis maintenant je suis, je suis entrepreneur. Il y a des questions qui sont intéressantes, je pense sur le côté frimat. Donc devenir freelance pour pour être, pour être nomade et bossan rimo je suis pas sûr que ça soit si évident que ça pour les gens qui nous écoutent que tu puisses trouver des missions en freelance facilement pour et que tu puisses bouger. Toi vois, typiquement moi, je suis français, j’habite en France. Je suis, on va développeur. Je trouve une mission en freelance. Il y a quand même beaucoup de missions en freelance ou il te demande de devenir quand même t’asseoir sur la chaise du bureau au quatrième étage, parce que c’est hyper important pour eux de gérer le présentiel.

Xavier (00:17:41) - Et puis et puis que si tu commences à leur dire, si trouve un client qui a ey pour le faire, henri maute mais un coup, tu dis, mais en fait, je pars à Séoul car je sais pas combien plus suite ou plus sept heures de la France, ça va commencer à devenir très compliqué. Comment est ce que tu arrives à toi? Comment est ce que tus à gérer cet aspect, ce que devenir pré l une chose, mais devenir freelance qui bosse en foule imo et qui voyage à travers le monde. Comment est ce que tu gères? C’est ce que c’est intéressant dans ta formation.

Ambroise (00:18:06) - Ouais. Pis, c’est marrant. Parce ce que tu vois, moi, je faisais ça même avant le COVID. Il y a beaucoup de gens. C’est le COVID qui a déclenché tout ça, leur imo et voyager extérieur. Moi, je faisais dast avant je même. J’avais même lancé frimat avant le COVID. Tu vois pour c’est marrant parce que beaucoup de gens, ça paraît normal, mais en 2019, c’était fou comme truc. Et donc, ouais, c’est en fait pour réussir à faire cesser la équation de plusieurs choses. C’est déjà d’avoir une activité qui le permet aujourd’hui en freelance digital, c’est quand même pas mal. Plus d’activités qui, sur le papier, le permettent. Je veux dire, t’es devant ton ordi ou ton téléphone et tu fais des choses. L’activité également qui peuvent être faites en asynchrone des métiers qui sont qui seraient possibles à faire, mais qui sont compliqués parce qu’il y a des des, il y a des meetings.

Ambroise (00:18:48) - Il y a des y a des choses à faire en personne. Il y a des manipulations à faire en personne, mais déjà l’activité. Ensuite, c’est aussi, c’est aussi le type, le type de client. Tu vois le type de clients qui sont plutôt de base imo. Je veux dire, c’est compliqué d’aller bosser pour une boîte de sécurité informatique ou tu dois passer 12 matches dans 12 trucs différents pour entrer un bureau, etc. De bos riau. Tu vois donc cette type de boîte et souvent les boîtes qui vont mieux fonctionner pour leur imo en tout cas, en freelance, la plupart des métiers, c’est, c’est les boîtes qui vont être plutôt de de type startup ou PME. Tu vois? Parce que c’est sont quand même beaucoup plus flexibles. Si tu vas bosser, je c pas chez total, en rimo en freelance, ça va être plus chaud, déjà signer le total en freelance faut s’accrocher, mais c’est des environnements, des boîtes qui vont être beaucoup flexibles.

Ambroise (00:19:36) - Et aussi moi, ce que je dis souvent, c’est que c’est pas compliqué de comprendre sur le web que je suis, que je suis nomade. J’en parle tout le temps. J’en parle partout affichée partout des boîtes, des boîtes qui le savent et qui sont hooks avec ça et limitent, tu vois mes clients actuels que j’ai gardé là, c, un site de commerce au Québec, genre les moitié des meetings qu’on fait, ce n’est pas une blague. La moitié de meeting qu’on fait, il me pose des questions sur mes voyages ou il demande des conseils. Tu vois là, par exemple, il y j’ai des questions sur le Portugal. Il y a le boss qui s’est acheté un appart en Espagne et dans des trucs sur l' Espagne. Tu vois? Donc c’est ça et en fait qui faut aussi, tu vois, c’est trouver des clients qui sont qui comprennent que toi t’es heureux comme ça, c’est en style de vie. Et bien sûr, il faut être bon et hyper compétent là dedans et en fait que pour bosser avec toi, c’est ça les conditions. Tu as et qu’en fait, le travail va être aussi bon, voire meilleur, parce que toi, tu ki, tu vois? Alors si moi tu m’enfermes dans un dans un cubi cule dans le noir, je veux pas être très positif. Ce que je veux dire,

Xavier (00:20:29) - Ouais, moi, je vois très bien en fait. Et je comprends tout à fait que pour toi, pour toi, ça facile, on va dire, parce qu’effectivement suite taper ton nom, ton prénom, on va tout de suite que t’es digital nomade et tu crées beaucoup de contenus sur le sujet, etc, etc. Mais je pensais à un de tes 18 zéro freelance que t’as formés et qui viennent de commencer. Tu, quand tu commences en freelance, c’est pas forcément facile. Il y a plein de trucs qui sont qui sont compliqués. Trouver le bon client, mettre en place une offre à près concrète, une bonne tarification. Et si en plus de ça, tu viens et tu dis en fait moi, je n’ai pas trop d’expérience. Ça fait deux ans que je bosse là. Je viens de me lancer en freelance et dans trois jours, je pars en Thaïlande. Ça va quand même est particulièrement chouin ou j’imagine que toi, tu donnes des conseils pour,

Ambroise (00:21:14) - Ouais, ouais, en fait, en fait, tout est dans tout est dans la équation entre les compétences, c’est sûr qu’il faut, il faut savoir ce qu’on fait, etc. Et aussi le type de client. Et comme on l’amène, il faut que ça vraiment pour le client, la mission qu’on fait, il faut que c’est vraiment un truc, un truc vital. Tu vois et écoute sur la bonne basse pour le faire et que tout soit tout ça. Bien après en soi, tu vois le Rio. Je sais que pour les développeurs, assez, c’est assez particulier par rapport à d’autres métiers. Tu vois en marketing que je sois à sé hou ou ailleurs, ça change pas grand chose. J’ai pas forcément besoin d’eux. Ils n’ont pas forcément besoin de moi. Tu vois pour la plupart des choses. Donc ça dépend, ça dépend pas du métier, mais mais oui, il y a plein de choses en fait qu’on peut être en place puisque j’enseigne dans frimont et autres aussi, pour arriver à le faire, tu vois ta gestion des cages horaires, t’as laverse de la gestion aussi de la synchrone et de tout ça. Mais en fait, une fois qu’on prouve au clients, qu’en fait, ça a bien meilleur calcul de bosser avec nous en freelance, à distance, que ce soit en termes de collaboration, que ce soit en termes de coûts, de coûts salarial, etc. Pour eux, s’ils hésiter à recruter à un employeur physique de, je ne sais pas de frais de bureau et autres. Et bien, en fait, ça devient une autre discussion. Et il y a aussi la question du tarif et tout ça. Mais c’est encore autre chose.

Xavier (00:22:27) - Ouais, pour avoir bossé beaucoup avec des gens qui n’étaient pas sur la même time zone que moi. Il y a un truc qui est magique, c’est que quand tu, je suis souvent plus à l’ouest que les gens avec qui je travaillent. Ce qui est cool, c’est que quand tu lèves, eh, en fait le boulet fait quoi dire que tu à la fin de la journée, tu dis, dis en fait, il faut que tu me fasses ça. Et quand tu lèves, c’est déjà fait. Il y a aussi un avantage certain à bosser en desquels j’imagine que toi c’est pareil. Séoul, parce que chez moi, c’est le matin chez toi aussi la nuit. Donc on est en décalage complet. C’est plus compliqué sur la communication, mais sur l’exécution, c’est, tu vas plus vite, en fait.

Ambroise (00:23:00) - Ouais ou exact. Tu vois un moment, la plupart, mon équipe, ils sont, ils sont nomades et ils bougent aussi. Je pense qu’on en parlera un peu après, mais mais il y en a quand même qui sont à paris ou en Europe. Tu vois moi, je me réveille le matin ici là. J’ai aucune nouvelle, aucun message, aucun truc de personnes qui arrive avant avant 14, 15 heures. Donc moi, mais un moment de deep puk le matin, il est magique. Tu vois? Il se passe rien. J’ai les messages de la veille, mais bon, je peux les ignorer jusqu’à neuf heures, 10 heures, parce que de façon ils dorment. Et donc moi, tu vois, j’ai ces période de 10 puk le matin qui sont qui sont juste folle, tu vois? Et, et par contre, j’aimais bien. Tu vas quand je suis au Canada ou quand j’étais au Mexique ou autre, en fait, un moment, tout le monde finit sa journée de travail en Europe. Donc tout le monde coupe. Et donc c’est pour toi de couper aussi. Tu vas

Xavier (00:23:45) - Chaque

Ambroise (00:23:46) - Fusion a son avantage, mais oui,

Xavier (00:23:48) - Ouais, justement, parlons de ton activité, de ton activité, formation où tu travailles, tu travailles plus en équipe la formation. C’est un sujet qu’on a relativement peu abordé sur le podcast, la formation à distance. Pourtant, c’est un gros morceau. En fait, je pense que j’ai juste pas trouvé les bons, les bons intervenants. On avait parlé avec gaétan demet, qui a aussi une chaîne youtube, même plutôt orientée d’ève, ce

Ambroise (00:24:10) - Que tu peux. J’avais enregistré un épisode chez lui aussi.

Xavier (00:24:13) - Ah ok. Et du coup, comment est-ce que tu tu peux nous expliquer un peu? Comment, comment est-ce que t’es organisé ton ton process de formation avec qui? Comment est ce que tu travailles avec qui et et comment tu fais pour former des gens à distance? Parce que c’est pas si évident que ça, en fait, il y a encore beaucoup de gens pour qui le présentiel, c’est plus simple ou en tout cas pour qui faire des formations en con Cole en vidéo, c’est vite le cauchemar, en fait.

Ambroise (00:24:41) - Ouais. Alors moi, en fait mon expérience de formation. Elle monte à avant d’avoir fait des formations en ligne parce que parce que moi, en fait, j’ai commencé assez tôt. Je crois que j’avais 19 ans dans le cadre de mes études dasso étudiante organisé des conférences, des événements qui étaient en physique. Et donc, en fait, j’ai organisé à Montréal une soixantaine d’événements. J’ai même, j’ai même repris un événement qui s’appelle Montréal, plus commerce, qui était le plus gros événement des commerces mensuels au monde. On est était une trentaine de personnes par mois et on est arrivé jusqu’à 200 avec des conférencier super connus comme marc roberge. Tu vois qu était un qui était un VP up spot qui un best selling qui est prof à Harvard et tout ça. Donc pas mal expérience, un événement, cette physique, mais c’était des conférences. Donc c’était l’éducation aussi. Donc j’ai vu pas mal de choses là dessus.

Ambroise (00:25:29) - J’ai ensuite donc donné donner un courage. C’est moral pendant un an. Donc c’était un cours, j’étais chargé de cours. J’ai aussi été moi, formateur, formateur, j’ai été invité à donner des formations en entreprise sur du marketing web. Tu vois des formations à présentiel? J’ai aussi donné des formations en ligne. Et donc j’ai vu un petit peu tous les ts de formation et j’ai créé, selon moi, le format qui était le plus agréable, à la fois pour moi, agréable et en même temps puissant et qui faisait passer le message pour moi et pour les élèves. Et en fait, moi, moi, c’est clairement pas ce que je fais, c’est clairement pas ni du live complet. Tu vois, c’est pas genre, j' refais le cours à chaque fois en live, etc. Et c’est ni du vidéo Netflix sur, c’est vraiment un équilibre entre tout ça qui fonctionne le mieux possible.

Ambroise (00:26:17) - Et donc, typiquement froth, puis j’ai aussi d’autres d’autres programmes. Tu vois, j’écris un programme qui s’appelle la boussole pour aider les personnes qui voyagent à voyager au améliora pour qu’il a été pris, c’est plus ou moins même format que j’ai répliqué. Mais en gros, c’est un cœur de formation qui est vraiment très réfléchie, très condensée, très compacte. Tu vois pour free mode, c’est 17 modules. Donc c’est des formations qui sont, c’est des vidéos qui sont enregistrées, etc, mais que j’ai découpé que je peux mettre à jour facilement, etc, avec des support présentations et des exercices d’applications concrètes sur le terrain. Donc, ces pages regarde une vidéo et après tu t’as fait ton truc? Non? Il y a cette vidéo là, il y a une ressource complémentaire et tu n’as pas fini de module tant que t n’as pas envoyé tel message à tel personne sur ledin, par exemple.

Ambroise (00:27:00) - Donc c’est vraiment très concrète, très pratique. Donc il y a cette partie là et il y a aussi la partie. Il y a aussi la partie coaching. Donc plus en live, cette fois ci coaching groupe, j’en avais un juste avant d’ailleurs, juste avant notre appel. Et donc coaching groupe, c’est deux coaching de groupe par mois pendant six mois pour les personnes de frimats. Et donc en petits groupes en général de huit personnes maximums ou là, vraiment, on avance sur les projets concrets de chacun, leur problématique, leur blocage et leur plan d’action. Tu vois? Donc tous les mois, ils savent que deux fois pendant ils nous retrouvent moi. Et puis je aussi maintenant léa qui qui est coach, qui est coach pour friot. Donc sur le complète. Et il y a aussi une communauté Facebook. Donc on est aujourd’hui plus de 300 ou tous les jours, tout le monde peut poster et tout le monde s’entraîne en fait, c’est à dire qu’aujourd’hui je rentre dans le groupe.

Ambroise (00:27:45) - Quelqu’un a posé une question, elle a déjà été répondue par quelqu’un autre, tu vois qui est plus avancé. Et donc une com d’entraide hyper soudée qui est là. Et en plus de ça, on a aussi d’autres masterclasses. En plus, tu vois demain de masterclass avec une membre de fri mode qui s’est formé à fond sur sur l’intelligence artificielle qui fait un atelier de deux heures sur comment utiliser GP pour trouver des missions, accélérer son activité, trouver des clients, travailler plus vite. Donc, tu vois, c’est vraiment un mix de beaucoup de formats qui sont bien organisés. Bien structurés. Tu vois le cœur de formation par rapport à quelqu’un qui fait en live moi, il est beaucoup plus réfléchi, beaucoup plus optimisé, beaucoup plus travaillé et beaucoup plus efficace aussi. Quoi?

Xavier (00:28:25) - Ok, en fait, t’as un corps, t’as un corps de formation qui est très fourni et que tu mets tout le temps à jour avec avec de la vidéo. Essentiellement, c’est ça. Et puis après autour de ça gravit toute une communauté avec des outils communautaires où les gens peuvent se parler entre eux et en plus, par le suite, tu r ajoutees du coaching pour renforcer un peu. C’est intéressant,

Ambroise (00:28:42) - Ok, parce que moi en fait les gens aujourd’hui. Il y a peut-être une époque où les gens aimaient ça, mais aujourd’hui, pour moi, les formations en ligne ou tu, tu payes une formation et tu regardes quelqu’un parler ou un p pendant deux heures t. Ça marche. Les gens veulent l’accompagnement, ils veulent, ils veulent qu’on soit avec eux. Une communauté et moi, je l’ai compris très vite ça parce que je le savais de mes événements en physique. Et en fait, tu vois également par rapport à la formation en vidéo, vu que j’avais donné trois fois le courage. J, j’aime pas être un perroquet, tu vois, je préfères le faire une fois très bien et limite enregistrer le maître à jour, etc. Que le refaire en live, en fait la valeur ajoutée. Elle n’est pas là le contenu. Il est pareil pour tout le monde que je le refasse en live tous les trois mois ou que je l’ai fait une fois bien, c’est pareil, le vrai à la vraie valeur lâcheté sur l’accompagnement et la communauté en fait.

Xavier (00:29:28) - Et tu fais que de la vidéo ou tu fais de la vidéo et du texte pour pour vraiment la formation puis radio,

Ambroise (00:29:35) - La formation, c’est concrètement, c’est une vidéo que j’enregistre avec ma dans un coin et un super plantation. Donc, en général, c’est, c’est des SLA, mais maintenant, j’aime bien faire des formats plus interactifs comme des master, des mind maps. Tu vois, par exemple, la boussole, c’est en mind map complètement, c’est beaucoup plus interactif. Et puis ça me permet aussi d’aller montrer des vidéos, montrer des ressources, faire des démo d’outils, etc. Quoi?

Xavier (00:29:59) - Ok, et tu découpes, tu découpes tes tes vidéos en petit format. Genre, tu fais des vidéos, je pas 20 minutes, 25 minutes. C’est comme ça. Ouais. Tu fais une grosse

Ambroise (00:30:10) - Vidéo. Le temps d’attention des gens est non, non, je fais des en fait, moi, je tourne un module d’une traite de pour raison de pro pour être dans le flot, mais après, je le découpe en plein de petits morceaux et les gens peuvent regarder cocher ce qui sont vu, ils regarder au fur un dur selon leur dispos quoi?

Xavier (00:30:25) - Ok, intéressant ce

Ambroise (00:30:26) - Que justement, tu vois, j’ai connu les, j’ai connu les formations, les cours que je n’ai à chassé Montréal des cours de trois heures avec une pause au milieu. Donc, en gros, c’était moi qui parlais pratiquement pendant tout le temps, je interactif, mais pour caricaturer pendant deux heures, deux h 45, c’est moi qui parlais en en mode monobloc et tu vois très bien, en fait, en que les gens décrochent assez vite, parce que le temps d’attention a durée d’attention sera un sujet est assez courte.

Xavier (00:30:49) - Ouais. Et puis ça te permet effectivement de mettre à jour si t’as besoin de mettre à jour le bloc trois et pas le bloc quatre. Tu peux mettre à jour le petit morceau trois. Et puis ah,

Ambroise (00:30:57) - C’est ça, tu vois? J’ai déjà, j’ai déjà fait une une remise à jour complète de frimas qui m’a pris des mois à mettre en place, mais c’est le meilleur vers garçon que je peux donner là. Je vais refaire une mise à jour dans dans les prochaines semaines, sur une certaine partie, tu vois que je vois qu’il peut s’améliorer parce que les questions qui reviennent tout le temps en coaching et en communauté, etc. C’est peut être que je l’ai mal formulé ou que je peux complément. Tu vois donc, en fait, plus ça va plus plus. En fait, la formation prend la valeur et est meilleure et aussi plus la communauté grandie. Donc, en fait, tu vois, c’est un effet de choix que s’appelle l’effet de réseau. C’est plus, le temps passe plus en fait ce qu’on crée à la valeur ou un truc. Si tu refais en live, tu vois déjà c’est épuisant et de ça s’améliore pas en fait avec le temps

Xavier (00:31:40) - Et tu pour les vidéos, etc. Et tu, tu utilises des outils particuliers. Je sais qu’il y a maon par exemple, qui existe pour faire genre de trucs ou est-ce que c’est, tu fais directement sur ton site internet avec des vidéos que tu as mis sur ton site web.

Ambroise (00:31:55) - Alors il y a tout tout boutique. Tu veux pour ça aussi bien pour capter la vidéo que le montage, l’hébergement et tout ça. Moi, je suis, je suis très efficace et droit au but là-dessus. En fait, moi, j’enregistre mon écran pour la vidéo. C’est assez facile. Je découpe montage classique. Je ne fais même pas de montage particulier. Je le découpe

Ambroise (00:32:15) - Et l’hébergement. Il y a 12 000 outils qui existent moi en fait, quand j’ai commencé, il y en avait pas 12 000 et moi, mon espèce de formation, c’est, c’est un histoire de presse. C’est un sous domaine de mon site qui est spécialement fait pour ça. Tu avec un plugin spécial, les vidéos se sont Vimeo et tout est en place. Et justement, ça paraît d’être beaucoup plus flexible dans les formations. Tu as, par exemple, on a un plugin de j board. Donc des gens de mon réseau peuvent poster une mission pour les frimas. Et j’ai plein de fois que ça a été comme ça que je peux mettre là. Je veux mettre bientôt en place un genre de chat boat en fait, où j’ai mis toute la formation dedans et quelqu’un peut poser une question, par exemple, ok, comment relancer un client? Tu vois et basé sur mon contenu, léa le bot va répondre à la personne selon comment je l’expliquais moi, tu as ok, donc je peux mettre ça sur mon site parce que c’est mon site. Si t’as un, si t’as un truc tout carré et tout préconçu et tu peux rien toucher, tu peux faire, c’est plus compliqué.

Ambroise (00:33:08) - T’es développeurs, tu veux, tu connais,

Xavier (00:33:10) - Je vois, je vois ce que tu veux dire. Et, et du coup, tu t’s question peut peut-être un peu oft topique, mais qui m’intéresse, t’as un mécanisme d’affiliation aussi, c’est que les ceux qui ont pris free mode peuvent le recommander à quelqu’un pour avoir, pour avoir une espèce de ou de loupe de grosse

Ambroise (00:33:31) - Pour dire en France. Ouais, ouais. Ben, ouais, c’est ça. Ok de, je pu commencer en français. Serge ou moi, je fais du moi à la base. Mon métier, c’est du glo marketing. Donc je connais bien et ouais, ouais. On a mis en place. En fait, à la base, on avait un programme vraiment d’affiliation classique en mode web. Tu vois? Genre hockey, tu devra faire quelqu’un, tu gagnes 30. En fait, ça marche pour les gens qui connaissent le web ou ou marketing. Et c’est pas du tout naturel pour quelqu’un de dire tiens, clique sur ce lien achète. C’est une formation payante. Et donc ce qu’on a fait maintenant, en fait qui on vient le lancer, mais ça me paraît beaucoup plus naturel, en fait, c’est de proposer aux personnes qui sont dans frimont deux, s’il voit quelqu’un dans le réseau qui a intéressé, qui pose des questions, etc, en fait de les envoyer pour prendre un pour discuter à quelqu’un de mon équipe. Tu vois un appel, un petit appel, juste pour parler leur projet vraiment en mode, sans engagement, sans rien, juste discuter un peu du projet. Et en fait, avec ça, c’est beaucoup plus naturel pour la personne pour le frimat de parler de la formation à un ami et ensuite pour nous aussi de répondre, d’expliquer concrètement ce qu’on peut proposer dans la situation des personnes. Tu vois? Parce que nous on propose d’accompagnement. Donc c’est pas, c’est pas tout robotique et standard en fait,

Ambroise (00:34:40) - Ok, différentes formules d’accompagnement. Il y en a aussi qui ont des des là. Je parlais coach au groupe, mais il y a aussi des coaching individus qu’on propose dans certains cas. Donc, ok, c’est ça,

Xavier (00:34:50) - Ok, du coup, ton activité de formation est effectivement plutôt bien taillée pour pour quelqu’un comme toi qui bouge tout le temps et qui n’est jamais sur même fus horaire. Parce qu’en fait tuas peu de contraintes horaires, à part les coaching mensuels ou vraiment, tu as besoin d’être là à heure fixe, mais sinon, sinon t’as pas, t’as pas de contrai

Ambroise (00:35:08) - En fait, à part ça, j’ai aucune contrainte. J’ai aucune contrainte et tu vois les coaching? Comme je disais, j' en a, on a léa qui, à la base qui a suivi une formation qu’on a que j’ai formé pour être coach frio t connais toute la formation, est freelance depuis plus, etc. Qui gèrent la plupart des coaching. Et en fait, moi, j’en ai, j’en ai un ou deux par mois. Tu vois? Donc c’est pour ça que on enregistre ça. Il est 23 heures chez moi. J’en ai fait avant de coaching. Je l’ai fait t plus ou plus ou moins, je suis dans le monde. Je peux trouver un créneau qui marche pour pour tout le monde que j’ai déjà un peu partout. Tu vas, j’en ai dans le groupe là. J’avais une personne qui était au Japon parce qu’il bougent aussi du coup, mes élèves au Japon, il y en a qui sont, il y en a qui sont à Montréal, d’autres en argentine. Tu vois donc un fuseau qui marchent pour tout le monde et du coup à plusieurs groupes pour commander ça aussi. Ok,

Xavier (00:35:54) - Ok, ça, c’est intéressant

Ambroise (00:35:56) - Le but, ce n’était pas de me créer l’activité qui me force à être sur un fuseau.

Xavier (00:36:00) - Je me doute, je me doute ok, très intéressant. Je pense qu’on a fait qu’on a fait le tour aussi bien d’une over view, un peu un aperçu de ton activité de formation et surtout le côté digital nomade. Je finis toujours le podcast avec la question avec la même question. Quel conseil tu donnerais à à quelqu’un qui est employé dans une dans une entreprise et qui veut qui veut faire comme toi? C’est à dire partir digital nomade, voyager tous les deux ou trois mois. Quel conseil tu lui donnerais par quoi? Par quoi est ce qu’on commence et quelles stratégies on adopte?

Ambroise (00:36:41) - Ouais, c’est une bonne question. Et ben moi déjà, ce que je dirais comme comme mon conseil de base, c’est plus la transition sera douce, mieux ce sera pour l’activité psychologiquement et et tout ça, parce que c’est quand même un gros job, quelqu’un qui est qui est sédentaire et qui a son emploi, etc. Donc, et c’est tout à fait possible en a parlé plusieurs fois dans le podcast d’être d’être employé imo moi, je dirais ce serait déjà de voir si dans l’emploi actuel qu’on a, on ne peut pas potentiellement être imo peutêtre pas tout lannée mais au moins une partie ou de commencer un pâte à tel le terrain. Je ne sais pas si vous avez déjà abordé les sujets dans le podcast.

Xavier (00:37:17) - Si ouais, ouais, on a, on a abordé ce sujet, mais c’est relativement peu commun quand la que des boîtes qui sont en présentiel foule et qui, d’un coup te laissent partir en trois mois en Thaïlande, il y en a quand même pas beaucoup.

Ambroise (00:37:32) - Ouais, c’est sûr. Mais bon, ça peut, ça peut se tenter, tu vois, il mieux le tenter avant de changer autre choses après, il y a deux, il a l’autre option de rester employé mais d’être employé dans une boîte qui est qui accepte le imo ou qui est encore mieux. Remo first, il a pas mal de boîtes aujourd’hui encore plus depuis COVID qui sont vraiment en imo. Donc parfois, ils ont un bureau, parfois pas, parfois ils font des retraites, tu vois quelquefois par an et se retrouvent oui, nous on a fait ça justement avec mon équipe, on s’est retrouvé, on était quatre, quatre, cinq, quatre champ de mailles. Il n’a pas longtemps. Donc ça, ça peut être co aussi. Donc, option son emploi actuel, le timo deuxième option, trouver un emploi dans une autre boîte, mais qui est beaucoup plus rioute. Et donc ce sera facile parce que tout sera fait pour le remote en fait.

Ambroise (00:38:15) - Et ensuite il y a deux autres options, l’option suivante et chaque option, je trouve, permet d’avoir plus de liberté. Encore l’abs, option suivante. C’est notre freelance. Donc de vendre ses compétences actuelles, mais sous forme de prestations à non pas une mais plusieurs entreprises. Et donc c’est ce que ont parlé, pas mal aujourd’hui en fait. Et donc ça, il y a pas mal de choses à prendre en compte, est ce que le métier qu’on fait peut être fait un freelance ou pas. Mais en fait, moi, je te dirais qu’aujourd’hui, c’est aussi un des messages de frimont. Qu’est ce que je fais, c’est que toute personne, tu vois qui écoute ce podcast qui capable de lire, parler, écouter, compter, etc, va tout le monde a des compétences bien plus importantes que ça et peut trouver une façon de les proposer en freelance. Donc, il y a même moyen pour pour toutes les personnes et de se lancer comme freeland généraliste ou autre.

Ambroise (00:38:59) - Et donc là pour freelance, de trouver des clients et de gérer son activité. Et en général, je vois aussi que pas mal de personnes qui sont employées Rio, tu vois des bus, c’est cool, mais ils voient leurs potes nomades qui sont freelance et qui peuvent aller plonger le matin ou partir en weekend de quatre jours route sans avoir rien à demander. Et en général, au bout de au bout d’un ou deux ans, il tiens ça, ça pourrait être cool. Et ils le font en parallèle. Et tu vois, en tant que nomade, moi 80 à 98 % des gens que j’ai croisés étaient frians sur la route. C’est moi, en partie, il y a quelques employés imo, mais c’est quand même très rare. Je dis ça, ma copine à employeur imo les freelance aussi, mais en plein imo ça existe. C’est quand même plus rare. Il y a plus de contraintes.

Ambroise (00:39:37) - Et après le dernier type, c’est d’être entrepreneur. Donc c’est en gros pour les gens qu’on prennent, c’est, c’est être entrepreneur imo c’est en général, soit travailler dans le monde du logiciel. Donc, avoir à ça ce startup, etc. Soit être dans le monde de la formation coaching, comme je suis aujourd’hui ou ça peut être aussi, ça peut être aussi du commerce, vendre du physique, mais il faut vendre quelque chose en ligne d’une façon d’une autre fois après, il y a aussi quelques personnes qui sont qui sont investisseurs et qui en vivent. Tu vois, mais c’est quand même assez rare

Xavier (00:40:11) - Ou ok, ça ou ou rentier, c’est pas mal. Il y a, il y a tout le volet aussi que moi j’explore pas mal en ce moment, qui est le volet agence. On va dire monter une agence de service qui soit plus ou moins product visée et qui permet de bouger mon associé. Il est, il est complètement imo il bose les deux, trois mois et on est en train monter une agence tous les deux.

Ambroise (00:40:37) - C’est intéressant, age, c’est un peu freelance en bon entrepreneur. Quoi? Ouais, c’est ça, le freelance.

Xavier (00:40:43) - Ouais. C’est intéressant que tu dises qu’il faut y aller doucement, parce que

Ambroise (00:40:49) - Le pire, le pire truc que je vois, c’est les gens qui, d’un coup, il dza, noma trop. Je quitte mon boulot. Ils partaient lautre bout du monde et là ils sont merde. En fait, c’est pas si simple que ça. Ben. Ouais. Ouais, c’est clair par étape. Et en fait, moi, je dis souvent qu’en FR le CN, on brûle pas des ponts. On en construit. Tu vois, ça fait un peu cliché comme ça, mais typiquement peut être que ton employeur actuel peut devenir ton meilleur client. Freelance. Si tu fais bien les choses ou tu peux avoir une rupture conventionnelle et ton sans freelance avec eux, tu vois, il y a plein plein d’options, mais si t’as tout brûlé ça, tu brûles ton réseau. Tu vois tout ça? Et, et c’est, j’ai déjà vu déjà connu plusieurs nomades. Tu vois qui sont partis en mode nomade et tout ça.

Ambroise (00:41:25) - Et le pire truc, c’est quand ils ont plus d’argent, tu vois en gros ton compte en banque et quand excité démarre pas avec t’es en voyage t as des dépenses, ton comptant banque diminue, diminue ou dans moment, soit tu prends des jobs, un peu de base sur la route. Donc genre être serveur ou accueil d’un nos hôtel, mais encore pour les visas et tous, c’est compliqué, soit tu prends un emploi qui te permet de voyager, genre agent à hôtesse de l’air ou autre. Mais souvent ces gens-là rendent chez eux, reprennent leur boulot d’avant ou plus ou moins. Et très, très peu repartent en fait. Donc t’as pas 12 000 chances de penser en nomades. Donc autant bien le faire et de bien si les bonnes étapes et peu importe dans quel chemin vous vous allez ne pas hésiter à demander aux gens qui l’ont fait, qui ont fait ce que voulez faire, qui peuvent vous aider et de le faire.

Xavier (00:42:10) - Ok, intéressant, intéressant à méditer cette histoire, de faire les transitions doucement plutôt que brutalement, de façon à pas brûler les étapes ni son réseau et tout ça. Et puis à construire tout doucement son activité petit à petit. Quoi? Essayer de grappier

Ambroise (00:42:28) - Pour le nomadisme?

Xavier (00:42:29) - Ouais. Des étapes de liberté petit à petit.

Ambroise (00:42:34) - C’est ça, mais ça vaut pour le nomadisme, mais ça va aussi pour l’activité. Tu vois le meilleur moment pour te lancer en freelance, c’est quand t’es employé et que t’as un revenu qui tombe tous les mois et tes conforts. Tu vois te lancer influence dans l’urgence. Il me reste deux mois et trois jours d’économie. C’est stressant et ça doit pas l’être. Et du coup, tu prends pas les meilleures décisions et c’est pas agréable. Alors qu’en fait ça peut l si t’es bien entouré. Et tu sais quoi faire? À quel moment et beaucoup de gens d’ailleurs freelance, qui sont comme ça, je leur dis, mais reprends prends toi un job alimentaire. Tu vois un mi temps? Je ne sais pas le temps de te lancer et d’être ok, tu vois?

Xavier (00:43:07) - Ouais, ouais, clairement. Et c’est exactement pareil pour entrepreneur. Il vaut mieux avoir un boulot à côté à mi temps histoire de payer ses factures, etc, etc. D’être tranquille au niveau du au niveau des besoins vitaux. On va dire, et comme ça, tu peux monter ton activité sur côté parce que ça prend du temps. Tout ça, même freelance n’est pas quand même relativement simple à monter parce que tu vends ton temps. Donc c’est relativement facile à faire. Ça prend quand même du temps. Il faut monter ton réseau, etc, etc. Donc le faire du jour au lendemain, en tout plaques, en plaquant tout et en partant en Thaïlande, c’est pas forcément le meilleur moyen.

Ambroise (00:43:42) - C’est ça. Et après aussi, moi, je dirais, tu peux faire le passage d’employé à entrepreneur? Moi, je dirais que le passage encore plus mou, tu vois ces genre passer de employer à freelance ce que tu apprends, plein de compétences, de vente, de relations, clients de compte de base, etc. Et quand t’es freelance et que quand ta liberté de choisir tes clients, etc, là de lancer ton activité en fait, et tu vois, en fait, moi, c’est le message. Un petit peu de mon podcast trieur, c’est que tous les entrepreneurs, les 95 % entrepreneurs web que tu connais qui sont succès folle, ils ont tous été freelance à un moment au début pour se lancer et même parfois certains y sont revenus. Tu vois typiquement l’exemple que j’aime bien, c’est, c’est sello marketing, Magna, je pense que tu dois connaître au moins

Xavier (00:44:24) - Ou

Ambroise (00:44:25) - Qui avait son activité en ligne de coaching en séduction, etc. Il est revenu freelance pour remettre pour volatilité, meilleure pour après lancer marketing. Et en fait, quand t es freelance et que tu sais, tu as des compétences que tu sais vendre, etc. C’est l’assurance, tous risques d’entrepreneurs. Tu vois ce que ta boîte plante castan tienne demain. Je prends une mission, je sais, on a trouver, je serai jamais à la rue. Quoi?

Xavier (00:44:45) - Clairement, clairement. Et

Ambroise (00:44:47) - Moi j’ai lancé, j’ai lancé ma startup comme ça, tu vois? J’ai lancé mes formations comme ça. C’est aussi comme ça que ça a démarré et j’étais flexible de pouvoir gérer les urgences que j’avais et en même temps, être flexible de dire, ok, je peux prendre mon mission et tout ça en tant qu’employé, bon partir, moment ou tu commences à vraiment bosser, avoir l’activité qui tourne et tout ça. C’est, c’est pas toutes les boîte qui vont m’ont accepté que tu passes à quatre jours, semaines ou mi-temps ou autre. Tu as donc

Xavier (00:45:13) - Il faut vraiment le voir comme des vases c communicants, à mon avis, même dans les différents types de projets qui veut mener que ce soit des infos produits du freelance, du salarié, etc. Il, il faut toujours garder une espèce d’équilibre entre ta ta liberté ou les degrés de liberté de TVA grappier et en même temps, la sécurité dont a besoin minimum pour pouvoir payer les payer, ton loyer, payer t bouffes, ne pas être complètement stressé par l’argent et au fur et à mesure, en fait, il faut trouver un équilibre petit à petit. Il ne faut pas tout vider d’un coup partir tout dans liberté pour rien laisser leur sécurité. Ça se grappille petit à petit et effectivement freelance. C’est un bon moyen pour pour revenir sur, pour retomber sur ses pattes. Si si on plante, parce qu’en tant qu’entraîneur, tu plante quand même souvent, c’est un peu le but du jeu ou une des conséquences.

Ambroise (00:45:59) - Le le plus vite est plus souvent tu le plantes le plus tôt et le mieux, tu réussis. Mais c’est ça, c’est ça. Ouais. Mais après chacun aussi, c’est chacun aussi. C’est, c’est chacun a ce dont il a besoin, ces définitions de se sentir besoin pour être en sécurité. Tu vois? Ouais, vu tout ce que j’ai vécu, les boîtes plantées, les ma machines, etc. Je sais que j’ai beaucoup moins besoin de sécurité que quelqu’un d’autre. Tu as il y a des gens s’ils n’ont pas au moins deux ans à deux ans d’économie devant eux pour vivre, ils sont stressé. Moi, j’ai déjà été en négatif. Tu vois la date, un système de crédit. J’ai été négatif. Tu vois pendant quelques mois, mais ça, tu vois, j’ai cette tolérance là. Qu’est un peu différente et d’autres personnes vont se dire ok, je peux pas faire ça. Si j’ai pas en, je ne suis pas propriétaire de appart enfin chacun ces définition, mais c’est important de se connaître et d’y aller a par étape encore plus

Xavier (00:46:49) - Clairement clairement. Écoute, merci beaucoup ambr brosse pour pour ce podcast. C’était, c’était hyper intéressant. Je mettrai dans la description du podcast, ton youtube et ton site internet est ce que tu veux que je rajoute. Des liens particuliers. S’il y a des endroits où on peut trouver facilement en ligne, au delà de ton youtube, de ton site

Ambroise (00:47:11) - Ou écoute le site, il y a pas mal tout. Mais le groupe Facebook noma digital francophone, on est presque 7000. Il est pas mal aussi. Et sur sur youtube, je partage pas mal de vidéos, des blogs de voyage, des conseils de nomades, etc. J’ai sorti par exemple une vidéo sur les 50 conseils de voyage au Japon. Donc c’est plus ça. Et sinon plus mon quotidien nomade tous les jours, c’est sur Instagram. Je partage tout en story ce que ce que je mange que je vis, les cafés ou je boss. Tu vois ça? Vraiment un bon, un bon aperçu de la vie nomade.

Xavier (00:47:40) - Ok, ça marche, ça marche. Mais je mettrai, je mettrai ça dans la description du podcast. Merci beaucoup pour pour cette interviews. Et puis, euh, à plus.

Ambroise (00:47:48) - Ouais. Ben, écoute, merci à, merci à toi et bravo pour pour ce que tu fais, le message que tu véhicules, on est chacun. On est tous dans notre mission. On va, on va devenir remote. On va, on va aider les gens devenir imo le mieux qu’on peut. S.

Xavier (00:48:05) - Merci d’avoir écouté. Génération imo. Si ce podcast vous a plu, n’oubliez pas de le partager autour de vous et de lui donner cinq étoiles sur iTunes. C’est la meilleure façon de m’aider. Si vous cherchez un emploi, Fu rim, allez faire un tour sur remoter com. C’est un job board qui regroupe que les emploi teques 100 pour on se retrouve dans 15 jours pour un nouvel épisode. D’ici là, portez-vous bien.

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